Plus de répit pour ceux qui activent dans le circuit du commerce informel. Dans ce cadre, pas moins de 45 brigades mixtes composées des services du commerce, des impôts et des douanes, assistées de la police, sont mobilisées. Leurs missions : lutter contre le commerce informel, sous toutes ses formes. Selon des statistiques de la direction régionale des impôts, environ 3.000 actions ont été entreprises dans la wilaya d'Alger, notamment au niveau d'Alger-centre, Sidi M'hamed, Bir Mourad-Rais, El-Harrach, Rouiba et Chéraga. Les brigades d'intervention ont mené des actions axées autour de l'identification d'activités non déclarées, du contrôle des stocks des marchandises et des factures et défaut de facturation. Dans un premier temps, les programmes des sorties ont ciblé les activités à forte présomption de fraude exercées dans les secteurs réputés pour la prolifération des activités informelles. Il s'agit, souligne-t-on, de Gué de Constantine, Birkhadem, Saoula, Lotissement Chabani, Chéraga, Bouchaoui, Dely Ibrahim, El-Achour, Draria, Baraki, Eucalyptus, Bentalha, Hamiz, El-Djorf, Rouiba, Réghaïa, Kouba, Jolie Vue,… Pour rappel, le représentant de la Direction du commerce de la wilaya d'Alger avait indiqué que, jusqu'à la fin de l'année 2004, 96 marchés informels avaient été recensés dans la capitale. La campagne de lutte contre le marché informel, la fraude et l'évasion fiscale ne concerne pas seulement la capitale mais toutes les grandes villes du pays. En effet, 732 marchés informels sont recensés au niveau national, dans une superficie globale de 2,7 millions de m2 et au sein desquels activent plus de 100.000 intervenants, soit près de 13 % des commerçants inscrits au registre du commerce. Le ministère du Commerce avait souligné avoir mobilisé pour la circonstance, 3.000 agents de contrôle, dont 1.700 spécialisés dans le contrôle de la qualité des produits alimentaires. En outre, la guerre aux activités illégales va être renforcée par le nouveau programme d'assainissement et de réorganisation des marchés de gros et de détail des fruits et légumes. Plus de répit pour ceux qui activent dans le circuit du commerce informel. Dans ce cadre, pas moins de 45 brigades mixtes composées des services du commerce, des impôts et des douanes, assistées de la police, sont mobilisées. Leurs missions : lutter contre le commerce informel, sous toutes ses formes. Selon des statistiques de la direction régionale des impôts, environ 3.000 actions ont été entreprises dans la wilaya d'Alger, notamment au niveau d'Alger-centre, Sidi M'hamed, Bir Mourad-Rais, El-Harrach, Rouiba et Chéraga. Les brigades d'intervention ont mené des actions axées autour de l'identification d'activités non déclarées, du contrôle des stocks des marchandises et des factures et défaut de facturation. Dans un premier temps, les programmes des sorties ont ciblé les activités à forte présomption de fraude exercées dans les secteurs réputés pour la prolifération des activités informelles. Il s'agit, souligne-t-on, de Gué de Constantine, Birkhadem, Saoula, Lotissement Chabani, Chéraga, Bouchaoui, Dely Ibrahim, El-Achour, Draria, Baraki, Eucalyptus, Bentalha, Hamiz, El-Djorf, Rouiba, Réghaïa, Kouba, Jolie Vue,… Pour rappel, le représentant de la Direction du commerce de la wilaya d'Alger avait indiqué que, jusqu'à la fin de l'année 2004, 96 marchés informels avaient été recensés dans la capitale. La campagne de lutte contre le marché informel, la fraude et l'évasion fiscale ne concerne pas seulement la capitale mais toutes les grandes villes du pays. En effet, 732 marchés informels sont recensés au niveau national, dans une superficie globale de 2,7 millions de m2 et au sein desquels activent plus de 100.000 intervenants, soit près de 13 % des commerçants inscrits au registre du commerce. Le ministère du Commerce avait souligné avoir mobilisé pour la circonstance, 3.000 agents de contrôle, dont 1.700 spécialisés dans le contrôle de la qualité des produits alimentaires. En outre, la guerre aux activités illégales va être renforcée par le nouveau programme d'assainissement et de réorganisation des marchés de gros et de détail des fruits et légumes.