Le déplacement du médiateur de l'instance onusienne aidera à la recherche d'une solution juste et définitive au conflit sur la base du respect de la légalité internationale telle qu'établie par les Nations unies. Le déplacement du médiateur de l'instance onusienne aidera à la recherche d'une solution juste et définitive au conflit sur la base du respect de la légalité internationale telle qu'établie par les Nations unies. Entamée, hier, la tournée, soutenue par les membres du Conseil de sécurité, dans le Maghreb de l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara Occidental, Peter Van Walsum, revêt une très grande importance. Selon certains observateurs au fait de cette question, le déplacement du médiateur de l'instance onusienne aidera à la recherche d'une solution juste et définitive au conflit sur la base du respect de la légalité internationale telle qu'établie par les Nations unies reconnaissant la question du Sahara Occidental comme un cas de décolonisation, le dernier sur le continent africain. Cette tournée sera aussi le prélude aux prochaines négociations dans la banlieue de New York. Pour rappel, trois rounds de pourparlers n'ont pas permis aux deux parties d'aplanir leurs divergences de fond sur l'avenir du Sahara Occidental. Le Front Polisario s'en lave les mains en accusant le Maroc de dynamiter la mise en œuvre de la feuille de route tracée par l'ancien secrétaire d'Etat américain, James Baker, destinée à régler le conflit, surtout que ladite «feuille» a été adoptée par le Conseil de sécurité. Le Maroc s'en tient à sa proposition d'une large autonomie sous souveraineté marocaine. Dans un autre chapitre, le Conseil de sécurité s'est félicité, au début de cette semaine, de la détermination affirmée des deux parties à négocier de bonne foi et a estimé le moment venu de «faire passer le processus à une phase de négociations plus intensives et substantielles». «Les membres du Conseil de sécurité sont satisfaits que les parties en conflit et les Etats de la région soient tombés d'accord pour se rencontrer du 11 au 13 mars, à Manhasset, dans le cadre de la résolution 1783 (octobre 2007)», pour poursuivre leurs discussions, lit-on dans le texte du communiqué publié lundi à l'issue de l'examen du rapport de Ban Ki-moon. «Nous appuyons le voyage dans la région de l'Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara Occidental et le facilitateur de l'ONU aux négociations de Manhasset, M. Peter Van Walsum en espérant qu'il aidera à faire avancer le processus de négociations en panne du fait de l'intransigeance des Marocains», a-t-il déclaré. Pour rappel, le plan Baker, approuvé par le Conseil de sécurité de l'ONU en 2003, prévoit l'organisation d'un référendum d'autodétermination pour le peuple sahraoui, conformément à la résolution 1514 et aux doctrine et pratique de l'ONU en matière de décolonisation. Sur le terrain, les manœuvres et les tergiversations marocaines ont pour effet de bloquer le dossier sahraoui et de plonger le Maghreb dans une zone d'instabilité politique. Néanmoins, le jeu trouble de Rabat n'a pas altéré la ligne de conduite adoptée par la communauté internationale à l'égard de la question du Sahara Occidental. Pour preuve, les Nations unies restent sur le principe que «le conflit du Sahara Occidental est une question de décolonisation relevant du comité de décolonisation de l'ONU». A ce propos, Van Walsum a plusieurs fois rappelé que le règlement de cette question doit effectivement s'inscrire dans le cadre des Nations unies. En tout cas, il a innové dans la forme de traitement du dossier. Au lieu d'attendre le prochain rendez-vous, il a opté pour le contact direct avec deux protagonistes. Entamée, hier, la tournée, soutenue par les membres du Conseil de sécurité, dans le Maghreb de l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara Occidental, Peter Van Walsum, revêt une très grande importance. Selon certains observateurs au fait de cette question, le déplacement du médiateur de l'instance onusienne aidera à la recherche d'une solution juste et définitive au conflit sur la base du respect de la légalité internationale telle qu'établie par les Nations unies reconnaissant la question du Sahara Occidental comme un cas de décolonisation, le dernier sur le continent africain. Cette tournée sera aussi le prélude aux prochaines négociations dans la banlieue de New York. Pour rappel, trois rounds de pourparlers n'ont pas permis aux deux parties d'aplanir leurs divergences de fond sur l'avenir du Sahara Occidental. Le Front Polisario s'en lave les mains en accusant le Maroc de dynamiter la mise en œuvre de la feuille de route tracée par l'ancien secrétaire d'Etat américain, James Baker, destinée à régler le conflit, surtout que ladite «feuille» a été adoptée par le Conseil de sécurité. Le Maroc s'en tient à sa proposition d'une large autonomie sous souveraineté marocaine. Dans un autre chapitre, le Conseil de sécurité s'est félicité, au début de cette semaine, de la détermination affirmée des deux parties à négocier de bonne foi et a estimé le moment venu de «faire passer le processus à une phase de négociations plus intensives et substantielles». «Les membres du Conseil de sécurité sont satisfaits que les parties en conflit et les Etats de la région soient tombés d'accord pour se rencontrer du 11 au 13 mars, à Manhasset, dans le cadre de la résolution 1783 (octobre 2007)», pour poursuivre leurs discussions, lit-on dans le texte du communiqué publié lundi à l'issue de l'examen du rapport de Ban Ki-moon. «Nous appuyons le voyage dans la région de l'Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara Occidental et le facilitateur de l'ONU aux négociations de Manhasset, M. Peter Van Walsum en espérant qu'il aidera à faire avancer le processus de négociations en panne du fait de l'intransigeance des Marocains», a-t-il déclaré. Pour rappel, le plan Baker, approuvé par le Conseil de sécurité de l'ONU en 2003, prévoit l'organisation d'un référendum d'autodétermination pour le peuple sahraoui, conformément à la résolution 1514 et aux doctrine et pratique de l'ONU en matière de décolonisation. Sur le terrain, les manœuvres et les tergiversations marocaines ont pour effet de bloquer le dossier sahraoui et de plonger le Maghreb dans une zone d'instabilité politique. Néanmoins, le jeu trouble de Rabat n'a pas altéré la ligne de conduite adoptée par la communauté internationale à l'égard de la question du Sahara Occidental. Pour preuve, les Nations unies restent sur le principe que «le conflit du Sahara Occidental est une question de décolonisation relevant du comité de décolonisation de l'ONU». A ce propos, Van Walsum a plusieurs fois rappelé que le règlement de cette question doit effectivement s'inscrire dans le cadre des Nations unies. En tout cas, il a innové dans la forme de traitement du dossier. Au lieu d'attendre le prochain rendez-vous, il a opté pour le contact direct avec deux protagonistes.