Des milliers d'entreprises, nouvellement créées, souffrent des lourdeurs dans le traitement de leurs dossiers de demande de crédits déposés auprès des banques. Des milliers d'entreprises, nouvellement créées, souffrent des lourdeurs dans le traitement de leurs dossiers de demande de crédits déposés auprès des banques. L'accès des PME aux financements bancaires en Algérie demeure un obstacle à leur développement. Des milliers d'entreprises, nouvellement créées, souffrent des lourdeurs dans le traitement de leurs dossiers de demande de crédits déposés auprès des banques afin de leur permettre d'avancer dans la réalisation des projets d'investissement. Les promoteurs pour leur part, estiment que les banques sont les premiers responsables de cette situation de manque de financements des PME. Cependant, les banquiers voient les choses autrement. Selon les banques et établissements financiers, publics et privés, activant en Algérie, «c'est la formulation même de la demande de crédit d'investissement qui cause autant de problèmes », et ils recommandent, à cet effet, «une révision appropriée des forme et durée des crédits». Les banques estiment que, contrairement aux crédits d'exploitation, les crédits d'investissement constituent une source de difficultés, liée principalement aux surcoûts des crédits demandés et à l'insuffisance des fonds propres proposés par les demandeurs de crédits. Elles estiment, également, que la prise en charge de ces difficultés ne doit pas être supportée exclusivement par les banques. Sur ce point, les banques et les établissements financiers ont élaboré plusieurs recommandations liées au financement des PME qui seront traduites par un programme de travail, appelé à être engagé avec le ministère des Finances. Ainsi, les recommandations des banques sur le financement de l'économie nationale ont touché, également, le cadre légal et réglementaire de l'activité bancaire et financière. Les banques et établissements financiers considèrent que les réformes et mutations déjà initiées dans ce domaine doivent être confortées par «des actions substantielles» à même de permettre aux banques le développement de leurs politiques et stratégies de croissance ainsi que la création de nouveaux produits et services bancaires. Pour prendre en charge ces préoccupations, ils ont suggéré la mise en place d'un mécanisme d'échange structuré et permanent entre l'Association des banques et établissements financiers (Abef) et le ministère des Finances, dont la tâche est de contribuer à l'enrichissement des projets de loi touchant à l'activité bancaire. Outre ladite activité, ces recommandations ont concerné, également, de multiples secteurs d'activité, notamment ceux de l'habitat, l'agriculture, le tourisme et le marché financier. A propos de ce dernier secteur, les banques ont affirmé qu'il doit contribuer au financement du développement des entreprises, des collectivités locales et de l'Etat. Dans cette perspective, ils ont recommandé le respect des principales dispositions du cahier des charges de l'intermédiaire en opérations de bourse (IOB) et l'ouverture du capital d'entreprises publiques à travers la Bourse d'Alger. L'accès des PME aux financements bancaires en Algérie demeure un obstacle à leur développement. Des milliers d'entreprises, nouvellement créées, souffrent des lourdeurs dans le traitement de leurs dossiers de demande de crédits déposés auprès des banques afin de leur permettre d'avancer dans la réalisation des projets d'investissement. Les promoteurs pour leur part, estiment que les banques sont les premiers responsables de cette situation de manque de financements des PME. Cependant, les banquiers voient les choses autrement. Selon les banques et établissements financiers, publics et privés, activant en Algérie, «c'est la formulation même de la demande de crédit d'investissement qui cause autant de problèmes », et ils recommandent, à cet effet, «une révision appropriée des forme et durée des crédits». Les banques estiment que, contrairement aux crédits d'exploitation, les crédits d'investissement constituent une source de difficultés, liée principalement aux surcoûts des crédits demandés et à l'insuffisance des fonds propres proposés par les demandeurs de crédits. Elles estiment, également, que la prise en charge de ces difficultés ne doit pas être supportée exclusivement par les banques. Sur ce point, les banques et les établissements financiers ont élaboré plusieurs recommandations liées au financement des PME qui seront traduites par un programme de travail, appelé à être engagé avec le ministère des Finances. Ainsi, les recommandations des banques sur le financement de l'économie nationale ont touché, également, le cadre légal et réglementaire de l'activité bancaire et financière. Les banques et établissements financiers considèrent que les réformes et mutations déjà initiées dans ce domaine doivent être confortées par «des actions substantielles» à même de permettre aux banques le développement de leurs politiques et stratégies de croissance ainsi que la création de nouveaux produits et services bancaires. Pour prendre en charge ces préoccupations, ils ont suggéré la mise en place d'un mécanisme d'échange structuré et permanent entre l'Association des banques et établissements financiers (Abef) et le ministère des Finances, dont la tâche est de contribuer à l'enrichissement des projets de loi touchant à l'activité bancaire. Outre ladite activité, ces recommandations ont concerné, également, de multiples secteurs d'activité, notamment ceux de l'habitat, l'agriculture, le tourisme et le marché financier. A propos de ce dernier secteur, les banques ont affirmé qu'il doit contribuer au financement du développement des entreprises, des collectivités locales et de l'Etat. Dans cette perspective, ils ont recommandé le respect des principales dispositions du cahier des charges de l'intermédiaire en opérations de bourse (IOB) et l'ouverture du capital d'entreprises publiques à travers la Bourse d'Alger.