Dans une conférence de presse tenue hier à Alger, le groupe du changement, aile dissidente du MSP, amenée par Abdelmadjid Menasra, a exprimé son soutien à la candidature du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour un troisième mandat présidentiel. Dans ce même point de presse, le groupe du changement a également exprimé son soutien à l'alliance présidentielle, dont, a-t-il précisé, il est l'un des membres fondateurs. Concernant le conflit interne qui oppose le président du Mouvement Bougerra Soltani et Abdelmadjid Menasra et l'initiative de réconciliation menée par le sénateur AbdelhamiD Daoud, le vice président du MSP a laissé entendre que « cette mission ne dispose pas de mécanismes lui permettant de mener à bien sa mission de réconciliation ». La mission telle qu'elle se présente « est rejetée dans le fond et la forme » par le groupe du changement. Le bras de fer entre les deux protagonistes a de beau jour devant lui. En tout état de cause, Abdelmadjid Menasra entend bel et bien poursuivre ses activités au sein du parti. « Personne ne peut nous exclure du parti », a-t-il affirmé. Il révèle que la direction du MSP lui a proposé d'accepter 3 membres dissidents dans le bureau national et d'introduire des amendements dans le règlement intérieur du parti. L'un des points concerne le mandat du président du parti qui sera limité à deux. D'autre part, Abdelmadjid Menasra n'exclut pas la création d'un parti politique. S. B. Dans une conférence de presse tenue hier à Alger, le groupe du changement, aile dissidente du MSP, amenée par Abdelmadjid Menasra, a exprimé son soutien à la candidature du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, pour un troisième mandat présidentiel. Dans ce même point de presse, le groupe du changement a également exprimé son soutien à l'alliance présidentielle, dont, a-t-il précisé, il est l'un des membres fondateurs. Concernant le conflit interne qui oppose le président du Mouvement Bougerra Soltani et Abdelmadjid Menasra et l'initiative de réconciliation menée par le sénateur AbdelhamiD Daoud, le vice président du MSP a laissé entendre que « cette mission ne dispose pas de mécanismes lui permettant de mener à bien sa mission de réconciliation ». La mission telle qu'elle se présente « est rejetée dans le fond et la forme » par le groupe du changement. Le bras de fer entre les deux protagonistes a de beau jour devant lui. En tout état de cause, Abdelmadjid Menasra entend bel et bien poursuivre ses activités au sein du parti. « Personne ne peut nous exclure du parti », a-t-il affirmé. Il révèle que la direction du MSP lui a proposé d'accepter 3 membres dissidents dans le bureau national et d'introduire des amendements dans le règlement intérieur du parti. L'un des points concerne le mandat du président du parti qui sera limité à deux. D'autre part, Abdelmadjid Menasra n'exclut pas la création d'un parti politique. S. B.