Le président syrien, Bachar Al-Assad, a réitéré lundi à Vienne, où il effectue une visite d'Etat, le refus de son pays d'envisager une perspective de paix avec Israël sans restitution de la partie du plateau du Golan occupée par l'Etat hébreu en 1967 et annexé en 1981. Pour le chef de l'Etat syrien, il ne s'agit pas d'une question d'importance stratégique de ces terres mais plutôt du respect des droits territoriaux de la Syrie. Damas exige la restitution totale du plateau du Golan, jusqu'aux rives du lac de Tibériade, principale réserve d'eau douce pour Israël, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU 242 et 338. Par ailleurs, M. Al-Assad a exprimé le vœu que l'Union européenne (UE) et les Etats-Unis s'engagent davantage dans le processus de paix au Proche-Orient, ajoutant que celui-ci devrait inclure la question palestinienne, la Syrie et le Liban. Sur un autre registre, le président syrien et son homologue autrichien Heinz Fischer ont plaidé lors d'une rencontre à Vienne en faveur d'un rapprochement UE-Syrie. "Le temps pour cela est venu", a assuré M. Fischer, soulignant que l'entrée en vigueur d'un tel accord serait "juste et utile". M. Fischer a également assuré que son pays, siégeant actuellement comme membre non permanent au Conseil de sécurité de l'ONU, assumerait sa responsabilité pour faire avancer le processus de paix au Proche-Orient. M. Al-Assad a entamé lundi une visite officielle de deux jours en Autriche. Outre son homologue autrichien, le président syrien doit aussi rencontrer le chancelier Werner Faymann et des représentants du monde économique au cours d'un forum avec des industriels aujourd'hui. Le président syrien, Bachar Al-Assad, a réitéré lundi à Vienne, où il effectue une visite d'Etat, le refus de son pays d'envisager une perspective de paix avec Israël sans restitution de la partie du plateau du Golan occupée par l'Etat hébreu en 1967 et annexé en 1981. Pour le chef de l'Etat syrien, il ne s'agit pas d'une question d'importance stratégique de ces terres mais plutôt du respect des droits territoriaux de la Syrie. Damas exige la restitution totale du plateau du Golan, jusqu'aux rives du lac de Tibériade, principale réserve d'eau douce pour Israël, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU 242 et 338. Par ailleurs, M. Al-Assad a exprimé le vœu que l'Union européenne (UE) et les Etats-Unis s'engagent davantage dans le processus de paix au Proche-Orient, ajoutant que celui-ci devrait inclure la question palestinienne, la Syrie et le Liban. Sur un autre registre, le président syrien et son homologue autrichien Heinz Fischer ont plaidé lors d'une rencontre à Vienne en faveur d'un rapprochement UE-Syrie. "Le temps pour cela est venu", a assuré M. Fischer, soulignant que l'entrée en vigueur d'un tel accord serait "juste et utile". M. Fischer a également assuré que son pays, siégeant actuellement comme membre non permanent au Conseil de sécurité de l'ONU, assumerait sa responsabilité pour faire avancer le processus de paix au Proche-Orient. M. Al-Assad a entamé lundi une visite officielle de deux jours en Autriche. Outre son homologue autrichien, le président syrien doit aussi rencontrer le chancelier Werner Faymann et des représentants du monde économique au cours d'un forum avec des industriels aujourd'hui.