Un climat d'incertitude règne au Front de libération nationale. Comme à la veille de chaque rendez-vous important du parti, les tractations se mettent en branle et les clivages remontent à la surface. C'est dans ce sens que le 9e congrès, annoncé en grande pompe pour le premier trimestre 2010, risquerait d'être encore reporté, bien qu'officiellement aucune date n'ait été avancée. Selon le chargé de l'information et membre de l'Instance exécutive du vieux parti, Saïd Bouhadja, «aucun report du congrès n'a été décidé». Et d'annoncer que la date exacte de la tenue des assises du FLN sera éventuellement connue à l'issue du Conseil national qui aura lieu les 21, 22 et 23 décembre prochains à la mutualité de Zéralda (Alger). Justement, il sera procédé à la réunion de la Commission de préparation du 9e congrès de concert avec l'Instance exécutive du parti, afin d'évaluer l'avancement des travaux des commissions et sous-commissions installées à cet effet, a-t-il ajouté. «Le prochain Conseil national sera l'occasion d'étudier, de débattre et d'enrichir les différents rapports de la commission de préparation des futures assises, et ce, après présentation des rapports finaux», a affirmé Saïd Bouhadja, sans pour autant faite allusion à la refonte organique qui pourrait s'opérer sur les instance du vieux parti. Cependant, si l'administration centrale du FLN semble confiante quant au déroulement des futures échéances, il n'en est pas de même dans la base et les différents Mouhafadhas où des militants affûtent leurs armes afin de s'offrir une «place au soleil», c'est-à-dire dans les instances dirigeantes du parti. Les rumeurs faisant état du retour à l'ancien mode de gestion organique du vieux parti aiguisent davantage les appétits. C'est dire le climat de tension qui mine les rangs du parti, d'où d'ailleurs le retard pris pour arrêter la date du fameux congrès. Ce qui promet un congrès houleux. Le mouvement de dissidence né dans les décombres du 8e congrès bis en 2004 après l'invalidation des assises chapeautées par Ali Benflis à la veille de la présidentielle, n'abdique pas et compte revenir de plus belle au devant de la scène. Les frondeurs qui crient à l'exclusion ne désarment pas, et mieux, ils voient en le 9e congrès du parti une occasion propice pour se repositionner dans les rangs et instances dirigeantes du FLN. Les prochains jours promettent d'être chauds, et ce, à l'approche du Conseil national où des décisions sont attendues. Cela dit, il ne s'est presque jamais passé une échéance sans que des voix s'élèvent pour dénoncer au FLN, mais les choses entrent aussitôt dans l'ordre jusqu'à la prochaine occasion. Un climat d'incertitude règne au Front de libération nationale. Comme à la veille de chaque rendez-vous important du parti, les tractations se mettent en branle et les clivages remontent à la surface. C'est dans ce sens que le 9e congrès, annoncé en grande pompe pour le premier trimestre 2010, risquerait d'être encore reporté, bien qu'officiellement aucune date n'ait été avancée. Selon le chargé de l'information et membre de l'Instance exécutive du vieux parti, Saïd Bouhadja, «aucun report du congrès n'a été décidé». Et d'annoncer que la date exacte de la tenue des assises du FLN sera éventuellement connue à l'issue du Conseil national qui aura lieu les 21, 22 et 23 décembre prochains à la mutualité de Zéralda (Alger). Justement, il sera procédé à la réunion de la Commission de préparation du 9e congrès de concert avec l'Instance exécutive du parti, afin d'évaluer l'avancement des travaux des commissions et sous-commissions installées à cet effet, a-t-il ajouté. «Le prochain Conseil national sera l'occasion d'étudier, de débattre et d'enrichir les différents rapports de la commission de préparation des futures assises, et ce, après présentation des rapports finaux», a affirmé Saïd Bouhadja, sans pour autant faite allusion à la refonte organique qui pourrait s'opérer sur les instance du vieux parti. Cependant, si l'administration centrale du FLN semble confiante quant au déroulement des futures échéances, il n'en est pas de même dans la base et les différents Mouhafadhas où des militants affûtent leurs armes afin de s'offrir une «place au soleil», c'est-à-dire dans les instances dirigeantes du parti. Les rumeurs faisant état du retour à l'ancien mode de gestion organique du vieux parti aiguisent davantage les appétits. C'est dire le climat de tension qui mine les rangs du parti, d'où d'ailleurs le retard pris pour arrêter la date du fameux congrès. Ce qui promet un congrès houleux. Le mouvement de dissidence né dans les décombres du 8e congrès bis en 2004 après l'invalidation des assises chapeautées par Ali Benflis à la veille de la présidentielle, n'abdique pas et compte revenir de plus belle au devant de la scène. Les frondeurs qui crient à l'exclusion ne désarment pas, et mieux, ils voient en le 9e congrès du parti une occasion propice pour se repositionner dans les rangs et instances dirigeantes du FLN. Les prochains jours promettent d'être chauds, et ce, à l'approche du Conseil national où des décisions sont attendues. Cela dit, il ne s'est presque jamais passé une échéance sans que des voix s'élèvent pour dénoncer au FLN, mais les choses entrent aussitôt dans l'ordre jusqu'à la prochaine occasion.