Par Kader Bakou Une �nuit des po�tes� dans un palais (de la culture) � Tlemcen. La soir�e est ouverte par la troupe Al-Rayhane de Malaisie qui interpr�te une belle chanson en arabe. Naseer Shamma parle de la relation entre la musique instrumentale, la po�sie et la chanson. En une belle illustration de cette relation, le musicien irakien va accompagner de son luth la chanteuse marocaine Faten Hilel Beck. Un peu plus tard, il va parler de son projet de �beyt el-oud � (la maison du luth) � Constantine et �ventuellement � Tlemcen. Les po�tes et les po�tesses (c�est leur nuit) d�clament des vers. L�orchestre Omar Belkhodja de Tlemcen nous fait r�ver aux soir�es artistiques dans un des palais de l�Andalousie d�antan. Le temps passe vite. La soir�e se termine par un instrumental de Naseer Shamma. Cette nuit des po�tes, mais aussi des chanteurs et des musiciens, d�montre que la musique adoucit les m�urs et que l�art et la culture en g�n�ral sont un langage universel que tous les peuples de la terre parlent et comprennent �par c�ur�. K. B.