En dépit de toutes les promesses qui leur ont été faites par les autorités, pour la rénovation de leur immeuble touché par le séisme de mai 2003 et classé orange, les locataires du 2, rue Issad-Hassani, à Alger, continuent à vivre avec la peur au ventre de le voir s'écrouler sur leur tête un jour. Les nombreuses fissures lézardant les murs de l'édifice de l'intérieur et de l'extérieur et l'état calamiteux de la cage d'escalier ne laissent planer aucun doute sur le risque quotidien qu'encourent ces habitants si des mesures ne sont pas prises rapidement.