Il semble que nos représentants à l'APC de Mostaganem ne tiennent pas compte des sensibilités et des appréhensions de la population Mostaganémoise, du fait qu'ils ont foulé à leurs pieds les valeurs défendues par les Chouhada et Moudjahidine en acceptant de se rendre à Perpignan qui est devenue le giron des Harkis et des pieds noirs, en tendant la main à un petit fils de pied noir ,le Lt Col Pujol, qui a commandé le 78e régiment d'infanterie de ligne , dont le grand père Pujol, Georges était passé à la Gestapo française, en devenant agent de la "Stosstrupp" (Commandos d'exécution et d'élimination) du KDS de Toulouse. Contrairement à la forte délégation Française menée, par le maire Pujol, la délégation algérienne qui s'est rendue à Perpignan ne compte que Quatre personnes : Le maire Boukhari, la membre déléguée à la culture El Beida, Le membre délégué au Sport Mortet et Benkhelfa Représentant syndical, pour se demander qu'en est-il des autres membres. Autre fait curieux la kyrielle d'entrepreneurs qui s'est rendue à Perpignan et qui a été reçue le 7 octobre du mois en cours. Il est vrai que cette visite était attendue, mais la logique voulait qu'elle soit annulée, du fait que le maire de Perpignan en tant que pied noir nourrit toujours pour l'Algérie certainement de la rancœur , du fait qu'il a fait de sa ville un centre d'accueil pour les harkis et les pieds noirs, avec pour symbole le Mémorial appelé Mur des Disparus, d'environ 15 mètres de large sur 2,5 de haut et promis d'inscrire dessus toutes les personnes disparues en Algérie entre 1954 et 1963. Jean Marc Pujol est né en Algérie d'origine pied noir, aurait du attirer l'attention de nos élus qui représentent, la population de Mostaganem. Jean-Marc Pujol … La cicatrice de l'Algérie ? Jean-Marc Pujol, né le 4 avril 1949 à Mostaganem, est un homme politique français, maire de Perpignan depuis le 22 octobre 2009.Avocat fiscaliste, champion de France de chasse sous-marine , Jean-Marc Pujol élu maire de Perpignan en octobre 2009. Son enfance en Algérie, au bord de mer, a été « heureuse » jusqu'à l'exil tragique de 1962 ou il avait 12 ans. Son oncle un tortionnaire, a été tué par l'ALN .L'arrivée de sa famille à Marseille, était accueillie par des insultes « Sales pieds-noirs » et « Dehors ! ».La famille s'installe à Béziers où le père devient courtier en vin. Jean-Marc Pujol était le président de la commission des finances à la CCI. Quant l'affaire de la gestion frauduleuse du parking de l'aéroport éclata. Il n'a jamais été inquiété dans cette affaire. Qui est Jean-Marc Pujol ? Jean-Marc Pujol est aujourd'hui le premier maire pied-noir, à accéder à ce poste dans une ville où la communauté des rapatriés est nombreuse. Il a lancé et appuyé plusieurs projets mémorisant les pieds noirs .Tout d'abord, l'érection d'une stèle au Haut-Vernet en 2003 pour la « réhabilitation des héros de l'Algérie », rebaptisée « la stèle de l'OAS » ; puis la construction en 2007 du « mur des Disparus » portant le nom de près de 3 000 pieds-noirs disparus en Algérie. Son père ,le Lieutenant-Colonel Pujol a commandé le 78e régiment d'infanterie de ligne Formé le 9 septembre 1939 sous ses ordres , il appartient à la 24 Division d'Infanterie.Son grand parent, Pujol, Georges (ancien résistant passé à la Gestapo française, agent de la "Stosstrupp" (Commandos d'exécution et d'élimination) du KDS de Toulouse, tortionnaire) : s'enfuit en juin 1944, ou il abattra lui même plusieurs complices susceptibles de le démasquer. Arrêté malgré tout en août 1944, il est immédiatement jugé. Condamné à mort, il exécuté peu après en compagnie de deux autres tortionnaires français de la Gestapo de Toulouse, Dedieu et Carrera. Perpignan, la ville Mémorial des Pieds noirs et des Harkis Selon Jean-Marc Pujol, maire de Perpignan, « les pieds noirs ont été les premières victimes du FLN ». Lui-même pied noir, il est l'homme politique qui a encouragé la construction du Centre et a rassemblé pour sa construction environ 2,5 millions de dollars de fonds publics, à savoir l'Etat et sa propre municipalité. Le 5 juillet 2005, La ville de Perpignan et le Cercle Algérianiste officialisent l'édification du Mémorial Mur des Disparus, d'environ 15 mètres de large sur 2,5 de haut .En octobre 2004, un olivier a été planté à Perpignan à la mémoire des Disparus et promesse a été faite par le sénateur-maire de Perpignan Jean-Paul , d'ériger dans la ville le MEMORIAL DES DISPARUS D'ALGERIE où seront inscrits les noms de toutes les personnes disparues en entre 1954 et 1963 sans distinction de sexe. Parmi les membres du comité de pilotage du Mur, pour la Ville de Perpignan, les maires-adjoints Jean-Marc Pujol et Maurice Halimi. Pujol choisi pour accueillir des harkis rescapés En 1962, le ministère de l'intérieur avait choisi le hameau de Pujol de bosc pour accueillir des harkis rescapés de la guerre d'Algérie et pour devenir le premier des soixante-dix "hameaux de forestage" que la France établira .Le Hameau de Pujol de bosc était un "douar" algérien de 400 harkis dans la montagne noire . Le hameau comptait jusqu'à 350 habitants au début du 20ème siècle, puis avait été déserté dans les années 1930. Retapé à la hâte, Pujol de bosc va abriter, jusqu'en 1978, prés de 45 familles, soit 400 personnes. Les familles sont arrivées par camions militaires du camp de transit de Rivesaltes. Officiellement citoyens français comme les autres, l'administration les obligera pourtant à vivre en vase clos .Un véritable "douar" algérien dans le Midi de la France distant de sept kilomètres de Villeneuve-Minervois. Le chemin a été goudronné depuis, mais, à l'époque il n'était pas carrossable. Les commerçants ambulants étaient pratiquement leur seul contact avec l'extérieur. Les harkis et leurs enfants étaient sous la tutelle d'un militaire Européen qui était leur "chef». Les hommes travaillaient tous pour l'office national des forêts (O N F). Progressivement, des contacts se sont noués au collège ainsi que lors des vendanges. Les harkis constituaient une main d'œuvre locale qui remplaçait avantageusement les Espagnols. Stora : L'Algérie des blancs c'est fini Pujol promet d'avoir" un centre pour organiser des recherches et avoir des débats, Suzy Simon -Nicaise est la présidente du cercle Algérianiste de la branche de Perpignan dont Pujol est membre, Elle avait 8 ans lorsque sa famille a quitte l'Algérie. Son père était un homme d'affaire dans une compagnie pétrolière. "Nous avons une culture et une identité" dit elle en parlant pour les « Pieds Noir ». Le cercle Algérianiste garde des objets et des papiers qui éventuellement occuperont les étagères du musée dans le vieux couvent. Ils remplissent plusieurs pièces fermées à clef. Monsieur Stora, l'historien, compare les PN comme Pujol et Scotto aux anticastristes cubains qui rêvent de leur pays perdu. " Mais il y a une grande différence" ajoute t'il" parce que les anticastristes ont l'espoir d'y retourner alors que le rêve des PN? Retourner en Algérie? Non." " L'Algérie française, l'Algérie des blancs c'est finit" dit Stora" et c'est pourquoi ils trouvent refuge dans un musée". Perpignan : 4ème ville la plus endettée de France selon le ministère des Finances ! Alors que le maire de Mostaganem à choisi la ville de Perpignan pour faire un jumelage dans le cadre économique et culturel et veut s'acquérir des bonnes leçons de la gestion d'une ville Française et s'apprête à avec son homologue maire de Perpignan , Jean-Marc Pujol d' inaugurer ce lundi 10 octobre 2011, en grandes pompes, le luxueux Théâtre de L'Archipel, le Journal Du Dimanche - a publié hier EN EXCLUSIVITE une enquête intitulée « La vérité sur la dette des villes » avec à la clé le top ten des dix villes françaises de plus de 100 000 habitants les plus endettées (Perpignan : 1 999 euros, dette par habitant sur l'année 2010, source Ministère des Finances).