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Cela s'est passe un jour : Aventures, drames et passions célèbres
Les vampires modernes (34e partie)
Publié dans Info Soir le 15 - 06 - 2006

Résumé de la 33e partie n Le cadavre d'une femme, étranglée et vidée de son sang, a été découvert dans un parc des environs de Lodz, seconde ville de Pologne, en 1952.
C'est l'horreur dans la ville : les vieilles peurs et les superstitions se réveillent. La presse a beau expliquer qu'il faut donner aux mots «vampire» et «vampirisme» un sens strictement médical, les gens n'ont à l'esprit que l'image du monstre qui, à la nuit tombée, quitte son tombeau pour aller se repaître du sang des vivants. La peur s'installe donc dans la ville et ses environs.
La police, elle, recherche activement le meurtrier du parc, car on craint que, s'agissant d'un malade, il se manifeste de nouveau.
Les jours et les semaines passent sans qu'il se produise quelque chose de nouveau. L'été passe, puis l'automne et Lodz s'apprête à fêter Noël. Les rues s'animent en prévision des préparatifs, le parc de Galkoviek où le cadavre a été découvert est très fréquenté. Une après-midi, des enfants qui jouent, remarquent une chaussure devant un bosquet. Ils s'approchent et trouvent d'autres vêtements, puis un bras replié. C'est le corps d'une femme, ligoté et apparemment sans vie.
L'alerte est donnée et peu après, la police est sur les lieux, à leur tête le lieutenant Szartek. Des journalistes, mis au courant de la découverte, arrivent aussi.
Le spectacle n'est pas beau à voir : la victime n'est pas une vieille femme, cette fois-ci, mais une jolie blonde aux yeux bleus. On saura, un peu plus tard, qu'elle a trente ans, qu'elle est mariée et mère de deux enfants. Comme la première victime, elle a été dénudée, attachée avec du fil de fer, étranglée et, en toute vraisemblance, violée.
«Le vampire ?», demande un journaliste.
Le lieutenant qui vient d'examiner le corps, se gratte la tête. «Le corps porte des traces de morsure !
— Au cou ?
— Au cou et à la poitrine. Il se retourne vers les journalistes et ajoute, avec une certaine ironie : ce qui n'est pas dans l'habitude des vampires !»
S'il est vrai que les vampires de la tradition ne mordent pas leurs victimes à la poitrine, il ne reste pas moins que la victime a été totalement vidée de son sang et cela est bien dans le habitudes des vampires.
Au lendemain de cette seconde découverte, les journaux titrent : «Le vampire de Galkoviek frappe de nouveau !»
C'est de nouveau l'hystérie, et à quelques jours de Noël seulement ! Des policiers sont mis de faction devant le parc qui semble être le lieu de prédilection du tueur, mais celui-ci ne se manifeste pas. Peut-être est-il impressionné par le dispositif mis en place et qu'il attend que la surveillance se relâche pour frapper de nouveau.
La police va rester sur ses gardes et la presse, de temps à autre, consacre des articles au «vampire». (à suivre...)


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