L'Algérie n'a pas subi les contrecoups de la crise économique et financière internationale et les conséquences négatives des troubles et changements sociopolitiques intervenus récemment dans certains pays d'Afrique du Nord (Tunisie, Egypte et Libye) selon l'Observatoire des investissements et partenariats en Méditerranée qui a établi le bilan des Investissements directs étrangers (IDE) pour le premier trimestre 2011. L'Algérie n'a pas subi les contrecoups de la crise économique et financière internationale et les conséquences négatives des troubles et changements sociopolitiques intervenus récemment dans certains pays d'Afrique du Nord (Tunisie, Egypte et Libye) selon l'Observatoire des investissements et partenariats en Méditerranée qui a établi le bilan des Investissements directs étrangers (IDE) pour le premier trimestre 2011. Ainsi, les experts de cet organisme spécialisé dans l'analyse des économies des pays du pourtour méditerranéen, estiment que « la tendance demeure inchangée en Algérie et au Liban tandis que les résultats ont été jugés encourageants au Maroc ». Ils précisent qu'en ce qui concerne le Liban, « les annonces d'investissement se poursuivent au même rythme qu'en 2010, c'est-à-dire avec quatre projets au cours des trois premiers mois de l'année 2011 contre trois au premier trimestre 2010 ». Pour ce qui est de l'Algérie, ils soulignent : « On constate la même chose où les annonces d'investissements demeurent à peu près stables en nombre de projets, et augmentent en montants après le médiocre bilan 2010, grâce au méga projet de parc urbain de l'émirati EIIC, qui reçoit finalement le feu vert gouvernemental, et aux nouveaux investissements du géant de l'acier ArcelorMittal dans le complexe d'El Hadjar ». Les analystes indiquent aussi que « les effets des soulèvements démocratiques et des transitions en cours sont perceptibles sur la tendance des IDE et des partenariats qui s'établissent au sud de la Méditerranée au premier trimestre 2011 ». Pour eux, « la chute des projets annoncés est importante en Tunisie, Egypte, Syrie, Libye, Jordanie, qui reviennent à des niveaux connus au premier trimestre 2009, au début de la récession internationale ». Par contre, ils affirment que « l'Algérie et le Liban restent stables, tandis que l'activité repart à la hausse au Maroc, mais surtout en Turquie et en Israël, qui creusent encore l'écart avec les autres pays de la région ». Selon notre source, les « révolutions et crises politiques ont boosté les intentions d'investissement en marquant le pas en 2011 en ce sens qu'après une année 2010 de reprise de l'Investissement direct étranger (IDE) en Méditerranée, les intentions d'investissement connaissent sans surprise un nouveau ralentissement au premier trimestre 2011». Obama promet une aide financière à la Tunisie et à l'Egypte Cette situation est développée par l'Observatoire des investissements et partenariats en Méditerranée ANIMA-MIPO, soutenu par le programme Invest in Med, soulignant que « le nombre d'annonces de projets d'IDE dans les pays MED1 diminue de 13% par rapport au rythme 2010, avec 184 projets détectés au cours des trois premiers mois 2011, contre 845 au total en 2010, et même de 27% par rapport au premier trimestre 2010 ». Meme si le nombre de projets d'IDE est en diminution, cela n'empêche pas les montants de grimper suivant les pays. Ainsi, selon ces experts, « les montants sont en revanche en hausse : 10 milliards d'euros annoncés contre 33,7 au total pour 2010, et 6,8 milliards au T1 2010. Cette hausse est toutefois presque exclusivement imputable à la Turquie et à Israël, qui attirent 9 des 10 plus grosses annonces en montants nets. Les annonces d'IDE sont en baisse dans presque tous les autres pays MED, avec des tendances et des contextes toutefois nettement tranchés ». Concernant les partenariats d'entreprises, le rapport des experts indiquent qu'ils ont enregistré un net recul, à savoir 76 annonces pour les trois premiers mois 2011, contre 511 au total pour l'année 2010 (-41%). La chute est supérieure à 50% dans tous les pays du Maghreb, y compris l'Algérie, et du Moyen-Orient (sauf le Maroc avec -35%), tandis qu'elle n'est pas significative dans les « Autres pays Med - Turquie, Israël, Chypre et Malte ». Les analystes précisent que « les 11 pays du voisinage européen, soit neuf pays partenaires méditerranéens de l'UE (Algérie, Egypte, Israël, Jordanie, Liban, Maroc, Autorité Palestinienne, Syrie, Tunisie), un pays avec le statut d'Observateur (Libye) et un pays en voie d'adhésion, la Turquie. Malte et Chypre ont rejoint l'Union en mai 2004 ». Ils montrent que « le Maroc se démarque des autres pays du Maghreb et du Moyen-Orient en enregistrant la seule hausse significative du nombre de projets d'IDE au premier trimestre 2011 dans la région ». . Ainsi, les experts de cet organisme spécialisé dans l'analyse des économies des pays du pourtour méditerranéen, estiment que « la tendance demeure inchangée en Algérie et au Liban tandis que les résultats ont été jugés encourageants au Maroc ». Ils précisent qu'en ce qui concerne le Liban, « les annonces d'investissement se poursuivent au même rythme qu'en 2010, c'est-à-dire avec quatre projets au cours des trois premiers mois de l'année 2011 contre trois au premier trimestre 2010 ». Pour ce qui est de l'Algérie, ils soulignent : « On constate la même chose où les annonces d'investissements demeurent à peu près stables en nombre de projets, et augmentent en montants après le médiocre bilan 2010, grâce au méga projet de parc urbain de l'émirati EIIC, qui reçoit finalement le feu vert gouvernemental, et aux nouveaux investissements du géant de l'acier ArcelorMittal dans le complexe d'El Hadjar ». Les analystes indiquent aussi que « les effets des soulèvements démocratiques et des transitions en cours sont perceptibles sur la tendance des IDE et des partenariats qui s'établissent au sud de la Méditerranée au premier trimestre 2011 ». Pour eux, « la chute des projets annoncés est importante en Tunisie, Egypte, Syrie, Libye, Jordanie, qui reviennent à des niveaux connus au premier trimestre 2009, au début de la récession internationale ». Par contre, ils affirment que « l'Algérie et le Liban restent stables, tandis que l'activité repart à la hausse au Maroc, mais surtout en Turquie et en Israël, qui creusent encore l'écart avec les autres pays de la région ». Selon notre source, les « révolutions et crises politiques ont boosté les intentions d'investissement en marquant le pas en 2011 en ce sens qu'après une année 2010 de reprise de l'Investissement direct étranger (IDE) en Méditerranée, les intentions d'investissement connaissent sans surprise un nouveau ralentissement au premier trimestre 2011». Obama promet une aide financière à la Tunisie et à l'Egypte Cette situation est développée par l'Observatoire des investissements et partenariats en Méditerranée ANIMA-MIPO, soutenu par le programme Invest in Med, soulignant que « le nombre d'annonces de projets d'IDE dans les pays MED1 diminue de 13% par rapport au rythme 2010, avec 184 projets détectés au cours des trois premiers mois 2011, contre 845 au total en 2010, et même de 27% par rapport au premier trimestre 2010 ». Meme si le nombre de projets d'IDE est en diminution, cela n'empêche pas les montants de grimper suivant les pays. Ainsi, selon ces experts, « les montants sont en revanche en hausse : 10 milliards d'euros annoncés contre 33,7 au total pour 2010, et 6,8 milliards au T1 2010. Cette hausse est toutefois presque exclusivement imputable à la Turquie et à Israël, qui attirent 9 des 10 plus grosses annonces en montants nets. Les annonces d'IDE sont en baisse dans presque tous les autres pays MED, avec des tendances et des contextes toutefois nettement tranchés ». Concernant les partenariats d'entreprises, le rapport des experts indiquent qu'ils ont enregistré un net recul, à savoir 76 annonces pour les trois premiers mois 2011, contre 511 au total pour l'année 2010 (-41%). La chute est supérieure à 50% dans tous les pays du Maghreb, y compris l'Algérie, et du Moyen-Orient (sauf le Maroc avec -35%), tandis qu'elle n'est pas significative dans les « Autres pays Med - Turquie, Israël, Chypre et Malte ». Les analystes précisent que « les 11 pays du voisinage européen, soit neuf pays partenaires méditerranéens de l'UE (Algérie, Egypte, Israël, Jordanie, Liban, Maroc, Autorité Palestinienne, Syrie, Tunisie), un pays avec le statut d'Observateur (Libye) et un pays en voie d'adhésion, la Turquie. Malte et Chypre ont rejoint l'Union en mai 2004 ». Ils montrent que « le Maroc se démarque des autres pays du Maghreb et du Moyen-Orient en enregistrant la seule hausse significative du nombre de projets d'IDE au premier trimestre 2011 dans la région ». .