Une grosse affaire de trafic de psychotropes vient d'être découverte par les gendarmes enquêteurs du groupement de Guelma, où plusieurs pharmaciens, médecins, grossistes ont été auditionnés par les gendarmes. Une grosse affaire de trafic de psychotropes vient d'être découverte par les gendarmes enquêteurs du groupement de Guelma, où plusieurs pharmaciens, médecins, grossistes ont été auditionnés par les gendarmes. En effet, selon le colonel Guena Benouada, commandant du groupement de la Gendarmerie nationale de Guelma, les faits de cette importante affaire remontent à quelques jours, lorsque les gendarmes avaient été informés sur l'écoulement de plusieurs centaines de milliers de boîtes de psychotropes par des grossistes, et ce, sans aucune légalité. Cette quantité de psychotropes, produites par une filiale de Saïdal, a été vendue aux grossistes. toutefois, ces derniers avaient détourné la marchandise pour la revendre illégalement et de manière frauduleuse, au profit de pharmaciens. "Jusqu'à présent nous avons auditionné quelque 22 pharmaciens mais l'enquête va continuer pour concerner plusieurs autres", a expliqué le colonel Guena. Ce dernier a ajouté que "l'enquête que nous menons va couvrir plusieurs wilayas du pays. Allant de Guelma, Mila, Constantine, Oum El Bouaghi, Sétif, Tébessa en passant par Alger, Hydra, Aïn Defla, Djelfa, Laghouat et en arrivant à Tiaret. Toutes ces villes feront l'objet d'une enquête de la part de nos enquêteurs et ce, dans le cadre de l'extension de compétence". En effet, les grossistes qui ont fait écouler ces grosses quantités de psychotropes, sans que la fililale de Saidal ne soit au courant, sont au nombre de six, comme cela a été révélé par le colonel Guena. Selon lui, beaucoup de pharmaciens ont soutiré "leur part du gateau" en arrivant à obtenir entre 850 à 900 cartons pour chacun. Ces comprimés de psychotropes ont été vendus, par des pharmaciens à de jeunes toxicomanes et souvent, avec l'aval de certains médecins. D'autres pharmaciens ont carrèment vendu les psychotropes sans ordonnances, ce qui est tout à fait contraire à la réglementation. L'enquête est en cours et il est fort possible que beaucoup de pharmaciens et médecins soient arrêtés par les gendarmes enquêteurs. Affaire à suivre. En effet, selon le colonel Guena Benouada, commandant du groupement de la Gendarmerie nationale de Guelma, les faits de cette importante affaire remontent à quelques jours, lorsque les gendarmes avaient été informés sur l'écoulement de plusieurs centaines de milliers de boîtes de psychotropes par des grossistes, et ce, sans aucune légalité. Cette quantité de psychotropes, produites par une filiale de Saïdal, a été vendue aux grossistes. toutefois, ces derniers avaient détourné la marchandise pour la revendre illégalement et de manière frauduleuse, au profit de pharmaciens. "Jusqu'à présent nous avons auditionné quelque 22 pharmaciens mais l'enquête va continuer pour concerner plusieurs autres", a expliqué le colonel Guena. Ce dernier a ajouté que "l'enquête que nous menons va couvrir plusieurs wilayas du pays. Allant de Guelma, Mila, Constantine, Oum El Bouaghi, Sétif, Tébessa en passant par Alger, Hydra, Aïn Defla, Djelfa, Laghouat et en arrivant à Tiaret. Toutes ces villes feront l'objet d'une enquête de la part de nos enquêteurs et ce, dans le cadre de l'extension de compétence". En effet, les grossistes qui ont fait écouler ces grosses quantités de psychotropes, sans que la fililale de Saidal ne soit au courant, sont au nombre de six, comme cela a été révélé par le colonel Guena. Selon lui, beaucoup de pharmaciens ont soutiré "leur part du gateau" en arrivant à obtenir entre 850 à 900 cartons pour chacun. Ces comprimés de psychotropes ont été vendus, par des pharmaciens à de jeunes toxicomanes et souvent, avec l'aval de certains médecins. D'autres pharmaciens ont carrèment vendu les psychotropes sans ordonnances, ce qui est tout à fait contraire à la réglementation. L'enquête est en cours et il est fort possible que beaucoup de pharmaciens et médecins soient arrêtés par les gendarmes enquêteurs. Affaire à suivre.