Chaque année, Al Qaïda au Maghreb islamique enregistre une perte de 20 % de ses effectifs, avec plus de 500 terroristes blessés, arrêtés, tués ou qui se rendent aux autorités, dévoile un document exclusif sur AQMI. Chaque année, Al Qaïda au Maghreb islamique enregistre une perte de 20 % de ses effectifs, avec plus de 500 terroristes blessés, arrêtés, tués ou qui se rendent aux autorités, dévoile un document exclusif sur AQMI. Un document qui rapporte, en chiffres, les pertes humaines concédées par la nébuleuse suite aux opérations des services de sécurité algériens de 2007 à la mi-2013. Pour la seule opération de Tiguentourine, 32 terroristes des plus sanguinaires ont été éliminés en janvier dernier par les forces algériennes suite à un assaut spectaculaire. L'Algérie est parmi les rares pays au monde à avoir réalisé de bons résultats contre le phénomène du terrorisme, et cela avec la confirmation des pays puissants qui, aujourd'hui, recherchent l'expérience algérienne avec beaucoup d'intérêt. En six ans et demi (janvier 2007-juillet 2013), les services de sécurité algériens ont réussi à éliminer 3.300 terroristes d'Al Qaïda au Maghreb islamique, indique le document. La lutte sans relâche contre AQMI depuis 2007, date à laquelle l'ex-GSPC avait décidé l'acte d'allégeance à Oussama Ben Laden alors chef d'Al Qaïda, a porté ses fruits. En effet, de janvier 2007 au mois de décembre 2012, AQMI a perdu 3.331 membres, dont 1.579 arrêtés par les forces de l'ordre, 1.521 autres éliminés dans diverses opérations et enfin 231 ont choisi de se rendre aux autorités. Six ans de traque et malgré cette importante saignée, AQMI garde ses capacités de nuisance et arrive encore à recruter de nouveaux combattants, venus de tous les horizons. Revenons sur les chiffres dévoilés sur le document sur AQMI. En 2007, 280 terroristes ont été arrêtés par les services de sécurité, tandis que 299 autres ont été tués dans des opérations antiterroristes et 26 se sont rendus aux autorités militaires. En 2008, le nombre des arrestations a atteint 299, tandis que celui des tués était de 210, 49 autres terroristes se sont rendus, parmi eux des émirs. La traque d'AQMI s'est poursuivie pour l'année 2009 et a permis l'arrestation de 376 membres, la neutralisation de 260 autres et a poussé 43 autres à se rendre. L'année 2009 restera l'une des périodes les plus efficaces en termes de résultat. En 2010 AQMI a perdu 242 membres, tandis que 289 autres ont été neutralisés et 24 ont décidé de se rendre. En 2011 152 islamistes ont été arrêtés, 132 autres abattus et 33 ont choisi la repentance. Il convient de souligner qu'en 2011 le phénomène du terrorisme avait enregistré une baisse sensible. Parmi les raisons essentielles, on peut noter que la plupart des terroristes ont été envoyés vers le nord du Mali par Abdelmalek Droukdel pour prêter main forte à leurs acolytes au Sahel. L'idée était d'occuper les villes maliennes. Ce transfert en masse de terroristes de l'Algérie vers le Mali a, par conséquent, amoindri la «facture» des pertes humaines au sein des rangs d'AQMI en 2011. L'année 2012 a permis l'arrestation de 112 terroristes, alors que 56 autres se sont rendus aux services de sécurité et, enfin, 222 ont été éliminés. En 2013 une centaine de terroristes ont été anéantis lors d'opérations spectaculaires comme c'était le cas pour celle de Tinguentourine. Sofiane Fassila, Necib Tayeb, Nabil Mekhloufi, Abou Alqama, des «émirs» neutralisés En 6 annnées la lutte antiterroriste de l'Algérie s'est soldée par l'élimination de terroristes notoires, l'arrestation d'autres et la repentance de plusieurs émirs et leurs acolytes. En Kabylie tout comme aux frontières, la lutte contre Al Qaïda au Maghreb a porté ses fruits. En six ans, rapporte le document sur AQMI, la nébuleuse a perdu plus de 300 émirs, entre éliminés, arrêtés et repentis. Parmi ces émirs, Necib Tayeb (arrêté), Sofiane Fassila (éliminé), Nabil Mekhloufi (mort) et la liste est encore très longue. Les plus importantes pertes enregistrées restent incontestablement celles de l'émir Sofiane Fassila, abattu à Tizi-Ouzou, et de l'émir de la phalange Al Ansar, connu sous le pseudonyme de Selmane et dont le vrai nom était Abbas Boubekeur. L'un des fondateurs du GSPC, Ahmed Zarabib, a trouvé la mort le 17 janvier 2006 au cours de violents affrontements avec les forces de l'ANP dans la région de Toudja. Les opérations menées contre les phalanges terroristes affiliées à AQMI se sont poursuivies tout au long des années précédentes et c'est ce qui a permis l'arrestation de dangereux émirs. Il est à rappeler que le 15 août 2012, Necib Tayeb, alias Issehak Essoufi, chef de la commission juridique d'AQMI, a été capturé vivant par les forces spéciales algériennes, cela dans la région de Berriane à Ghardaïa. Une opération qualifiée de grand succès, laquelle a permis aux services de sécurité de récolter des renseignements très importants sur l'organisation terroriste d'Al Qaïda au Maghreb islamique. Un document qui rapporte, en chiffres, les pertes humaines concédées par la nébuleuse suite aux opérations des services de sécurité algériens de 2007 à la mi-2013. Pour la seule opération de Tiguentourine, 32 terroristes des plus sanguinaires ont été éliminés en janvier dernier par les forces algériennes suite à un assaut spectaculaire. L'Algérie est parmi les rares pays au monde à avoir réalisé de bons résultats contre le phénomène du terrorisme, et cela avec la confirmation des pays puissants qui, aujourd'hui, recherchent l'expérience algérienne avec beaucoup d'intérêt. En six ans et demi (janvier 2007-juillet 2013), les services de sécurité algériens ont réussi à éliminer 3.300 terroristes d'Al Qaïda au Maghreb islamique, indique le document. La lutte sans relâche contre AQMI depuis 2007, date à laquelle l'ex-GSPC avait décidé l'acte d'allégeance à Oussama Ben Laden alors chef d'Al Qaïda, a porté ses fruits. En effet, de janvier 2007 au mois de décembre 2012, AQMI a perdu 3.331 membres, dont 1.579 arrêtés par les forces de l'ordre, 1.521 autres éliminés dans diverses opérations et enfin 231 ont choisi de se rendre aux autorités. Six ans de traque et malgré cette importante saignée, AQMI garde ses capacités de nuisance et arrive encore à recruter de nouveaux combattants, venus de tous les horizons. Revenons sur les chiffres dévoilés sur le document sur AQMI. En 2007, 280 terroristes ont été arrêtés par les services de sécurité, tandis que 299 autres ont été tués dans des opérations antiterroristes et 26 se sont rendus aux autorités militaires. En 2008, le nombre des arrestations a atteint 299, tandis que celui des tués était de 210, 49 autres terroristes se sont rendus, parmi eux des émirs. La traque d'AQMI s'est poursuivie pour l'année 2009 et a permis l'arrestation de 376 membres, la neutralisation de 260 autres et a poussé 43 autres à se rendre. L'année 2009 restera l'une des périodes les plus efficaces en termes de résultat. En 2010 AQMI a perdu 242 membres, tandis que 289 autres ont été neutralisés et 24 ont décidé de se rendre. En 2011 152 islamistes ont été arrêtés, 132 autres abattus et 33 ont choisi la repentance. Il convient de souligner qu'en 2011 le phénomène du terrorisme avait enregistré une baisse sensible. Parmi les raisons essentielles, on peut noter que la plupart des terroristes ont été envoyés vers le nord du Mali par Abdelmalek Droukdel pour prêter main forte à leurs acolytes au Sahel. L'idée était d'occuper les villes maliennes. Ce transfert en masse de terroristes de l'Algérie vers le Mali a, par conséquent, amoindri la «facture» des pertes humaines au sein des rangs d'AQMI en 2011. L'année 2012 a permis l'arrestation de 112 terroristes, alors que 56 autres se sont rendus aux services de sécurité et, enfin, 222 ont été éliminés. En 2013 une centaine de terroristes ont été anéantis lors d'opérations spectaculaires comme c'était le cas pour celle de Tinguentourine. Sofiane Fassila, Necib Tayeb, Nabil Mekhloufi, Abou Alqama, des «émirs» neutralisés En 6 annnées la lutte antiterroriste de l'Algérie s'est soldée par l'élimination de terroristes notoires, l'arrestation d'autres et la repentance de plusieurs émirs et leurs acolytes. En Kabylie tout comme aux frontières, la lutte contre Al Qaïda au Maghreb a porté ses fruits. En six ans, rapporte le document sur AQMI, la nébuleuse a perdu plus de 300 émirs, entre éliminés, arrêtés et repentis. Parmi ces émirs, Necib Tayeb (arrêté), Sofiane Fassila (éliminé), Nabil Mekhloufi (mort) et la liste est encore très longue. Les plus importantes pertes enregistrées restent incontestablement celles de l'émir Sofiane Fassila, abattu à Tizi-Ouzou, et de l'émir de la phalange Al Ansar, connu sous le pseudonyme de Selmane et dont le vrai nom était Abbas Boubekeur. L'un des fondateurs du GSPC, Ahmed Zarabib, a trouvé la mort le 17 janvier 2006 au cours de violents affrontements avec les forces de l'ANP dans la région de Toudja. Les opérations menées contre les phalanges terroristes affiliées à AQMI se sont poursuivies tout au long des années précédentes et c'est ce qui a permis l'arrestation de dangereux émirs. Il est à rappeler que le 15 août 2012, Necib Tayeb, alias Issehak Essoufi, chef de la commission juridique d'AQMI, a été capturé vivant par les forces spéciales algériennes, cela dans la région de Berriane à Ghardaïa. Une opération qualifiée de grand succès, laquelle a permis aux services de sécurité de récolter des renseignements très importants sur l'organisation terroriste d'Al Qaïda au Maghreb islamique.