Des dizaines de citoyens ont fermé, hier, le siège de l'APC de Chaâbet El-Ameur à une quarantaine de km à l'est de Boumerdès, pour protester contre la dégradation du cadre de vie dans le quartier Groupement Nord. Les manifestants réclament de relancer les travaux du projet d'aménagement urbain à l'arrêt depuis plusieurs mois. Des dizaines de citoyens ont fermé, hier, le siège de l'APC de Chaâbet El-Ameur à une quarantaine de km à l'est de Boumerdès, pour protester contre la dégradation du cadre de vie dans le quartier Groupement Nord. Les manifestants réclament de relancer les travaux du projet d'aménagement urbain à l'arrêt depuis plusieurs mois. Ledit projet a été lancé, il y a de cela deux ans, par les services de la direction de l'urbanisme et de la construction de la wilaya avec une enveloppe financière importante. Les manifestants qui ont suspendu des banderoles sur le grillage de l'APC ont dénoncé l'immobilisme des autorités et élus locaux qui, selon eux, n'ont pas beaucoup de choses pour mettre un terme au calvaire des habitant dudit quartier situé à quelques encablures du chef-lieu communal. « Nous vivons depuis une vingtaine d'année un calvaire », nous dira un manifestant qui ajoute que la route menant au quartier « a été emportée par les eaux diluviennes qui se sont abattues sur la région en hiver 1998 ». Et à un autre d'ajouter : « Nous avons réclamé son aménagement depuis plusieurs années. Il a fallu attendre l'année 2012, pour qu'un projet soit inscrit et les travaux entamés, mais à la surprise générale, les travaux se sont arrêtés. Et maintenant, nous réclamons l'achèvement des travaux afin de mettre fin à notre calvaire ». L'APC a été paralysée par cette action de protestation, la deuxième du genre à être enclenchée en l'espace de trois mois par les habitants dudit quartier. L'état civil était également paralysé. A l'heure où nous mettons sous presse, le siège de l'hôtel de ville était encore fermé et une délégation de manifestants reçue par le P/APC. Ledit projet a été lancé, il y a de cela deux ans, par les services de la direction de l'urbanisme et de la construction de la wilaya avec une enveloppe financière importante. Les manifestants qui ont suspendu des banderoles sur le grillage de l'APC ont dénoncé l'immobilisme des autorités et élus locaux qui, selon eux, n'ont pas beaucoup de choses pour mettre un terme au calvaire des habitant dudit quartier situé à quelques encablures du chef-lieu communal. « Nous vivons depuis une vingtaine d'année un calvaire », nous dira un manifestant qui ajoute que la route menant au quartier « a été emportée par les eaux diluviennes qui se sont abattues sur la région en hiver 1998 ». Et à un autre d'ajouter : « Nous avons réclamé son aménagement depuis plusieurs années. Il a fallu attendre l'année 2012, pour qu'un projet soit inscrit et les travaux entamés, mais à la surprise générale, les travaux se sont arrêtés. Et maintenant, nous réclamons l'achèvement des travaux afin de mettre fin à notre calvaire ». L'APC a été paralysée par cette action de protestation, la deuxième du genre à être enclenchée en l'espace de trois mois par les habitants dudit quartier. L'état civil était également paralysé. A l'heure où nous mettons sous presse, le siège de l'hôtel de ville était encore fermé et une délégation de manifestants reçue par le P/APC.