La faiblesse de la production au sein des entreprises algériennes semble être la première cause de la hausse des prix de produits de large consommation. C'est du moins ce qu'a relevé M. Réda Hamiani, président du Forum des chefs d'entreprises (FCE), lors d'une conférence-débat organisée lundi soir à Alger. En effet, le citoyen algérien assiste ces derniers temps à une forte hausse des prix. Des augmentations qui touchent, pratiquement l'ensemble des produits de consommation. Face à cette situation, et devant la faiblesse du pouvoir d'achat, le consommateur reste incapable de trouver le juste équilibre entre son revenu et ses dépenses. Les patrons et les experts algériens dans le domaine se sont montrés préoccupés par cette tendance haussière des prix et par une faiblesse relative des salaires. Ces spécialistes ont tiré la sonnette d'alarme, en insistant sur l'urgence de trouver des solutions de sortie de crise, sans toutefois présenter des propositions M. Hamiani a imputé la hausse des prix à la consommation en Algérie, à une inflation importée de économie mondiale qui pousse à une tendance haussière des prix des matières premières. La solution proposée par le FCE, annonce M. Hamiani, et d'intégrer une politique de l'offre, c'est-à-dire augmentation de la production et de la productivité. Evoquant le sujet des investissement, M. Hamiani a attribué la faiblesse constatée dans ce domaine aux multiples problèmes, notamment, l'accès au foncier et aux financements ainsi que les entraves bureaucratiques qui persistent à freiner les tentatives d'investissement sur le marché algérien. M. Ahmed Benbitour, l'ex-Chef de gouvernement a axé, quant à lui, son intervention sur les opportunités qui s'offrent à l'économie nationale. Pour l'intervenant, trois bonnes opportunités sont actuellement à saisir. Elles concernent, entre autres, la démocratisation du savoir, l'aisance financière avec plus de 80 milliards de dollars de réserves de change sans endettement extérieur, un taux d'épargne publique appréciable (plus de 50 % du PIB) et un rééquilibrage démographique entre 2000 et 2030. La faiblesse de la production au sein des entreprises algériennes semble être la première cause de la hausse des prix de produits de large consommation. C'est du moins ce qu'a relevé M. Réda Hamiani, président du Forum des chefs d'entreprises (FCE), lors d'une conférence-débat organisée lundi soir à Alger. En effet, le citoyen algérien assiste ces derniers temps à une forte hausse des prix. Des augmentations qui touchent, pratiquement l'ensemble des produits de consommation. Face à cette situation, et devant la faiblesse du pouvoir d'achat, le consommateur reste incapable de trouver le juste équilibre entre son revenu et ses dépenses. Les patrons et les experts algériens dans le domaine se sont montrés préoccupés par cette tendance haussière des prix et par une faiblesse relative des salaires. Ces spécialistes ont tiré la sonnette d'alarme, en insistant sur l'urgence de trouver des solutions de sortie de crise, sans toutefois présenter des propositions M. Hamiani a imputé la hausse des prix à la consommation en Algérie, à une inflation importée de économie mondiale qui pousse à une tendance haussière des prix des matières premières. La solution proposée par le FCE, annonce M. Hamiani, et d'intégrer une politique de l'offre, c'est-à-dire augmentation de la production et de la productivité. Evoquant le sujet des investissement, M. Hamiani a attribué la faiblesse constatée dans ce domaine aux multiples problèmes, notamment, l'accès au foncier et aux financements ainsi que les entraves bureaucratiques qui persistent à freiner les tentatives d'investissement sur le marché algérien. M. Ahmed Benbitour, l'ex-Chef de gouvernement a axé, quant à lui, son intervention sur les opportunités qui s'offrent à l'économie nationale. Pour l'intervenant, trois bonnes opportunités sont actuellement à saisir. Elles concernent, entre autres, la démocratisation du savoir, l'aisance financière avec plus de 80 milliards de dollars de réserves de change sans endettement extérieur, un taux d'épargne publique appréciable (plus de 50 % du PIB) et un rééquilibrage démographique entre 2000 et 2030.