Un haut responsable iranien en nucléaire a jugé "constructives" les dernières négociations entre responsables iraniens et experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) autour de "particules d'uranium enrichi" trouvées dans les locaux d'une université technique de la capitale iranienne, en janvier 2006, a rapporté l'agence de presse IRNA. "Les négociations se sont déroulées dans une atmosphère constructive", a indiqué Ali Asghar Soltanieh, ambassadeur iranien à l'AIEA, cité par IRNA. "Une autre étape a été avancée pour aborder les questions restantes du programme nucléaire iranien", a-t-il poursuivi, ajoutant que Téhéran avait répondu à toutes "les questions techniques" posées par l'AIEA, en attendant une conclusion de la dernière. Les responsables iraniens et des experts de l'AIEA ont achevé il y a deux jours à Téhéran des discussions, de trois jours, autour des particules d'uranium enrichi trouvées dans les locaux d'une université technique de la capitale iranienne, en janvier 2006. L'équipe de l'AIEA était dirigée par le responsable du département des garanties à l'AIEA, Herman Nackartes, alors que la partie iranienne était représentée par Mohammad Saïdi, vice-directeur de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique et Ali Asghar Soltanieh, représentant de l'Iran auprès de l'AIEA. Plusieurs entretiens ont eu lieu entre les responsables iraniens et des experts de l'AIEA depuis la conclusion en août dernier d'un accord pour que Téhéran réponde, d'ici la fin de l'année, à des questions de l'agence sur son programme nucléaire. Selon un rapport de l'AIEA rendu public à la mi-novembre, l'Iran a fait des "progrès substantiels" en révélant la nature et l'étendue de son programme nucléaire controversé, mais cela reste insuffisant. Un haut responsable iranien en nucléaire a jugé "constructives" les dernières négociations entre responsables iraniens et experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) autour de "particules d'uranium enrichi" trouvées dans les locaux d'une université technique de la capitale iranienne, en janvier 2006, a rapporté l'agence de presse IRNA. "Les négociations se sont déroulées dans une atmosphère constructive", a indiqué Ali Asghar Soltanieh, ambassadeur iranien à l'AIEA, cité par IRNA. "Une autre étape a été avancée pour aborder les questions restantes du programme nucléaire iranien", a-t-il poursuivi, ajoutant que Téhéran avait répondu à toutes "les questions techniques" posées par l'AIEA, en attendant une conclusion de la dernière. Les responsables iraniens et des experts de l'AIEA ont achevé il y a deux jours à Téhéran des discussions, de trois jours, autour des particules d'uranium enrichi trouvées dans les locaux d'une université technique de la capitale iranienne, en janvier 2006. L'équipe de l'AIEA était dirigée par le responsable du département des garanties à l'AIEA, Herman Nackartes, alors que la partie iranienne était représentée par Mohammad Saïdi, vice-directeur de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique et Ali Asghar Soltanieh, représentant de l'Iran auprès de l'AIEA. Plusieurs entretiens ont eu lieu entre les responsables iraniens et des experts de l'AIEA depuis la conclusion en août dernier d'un accord pour que Téhéran réponde, d'ici la fin de l'année, à des questions de l'agence sur son programme nucléaire. Selon un rapport de l'AIEA rendu public à la mi-novembre, l'Iran a fait des "progrès substantiels" en révélant la nature et l'étendue de son programme nucléaire controversé, mais cela reste insuffisant.