Tout le monde, au complexe Arcelor Mittal d'El Hadjar, se rappelle les conditions dans lesquelles Aïssa Menadi, l'ancien patron du syndicat de cette entreprise, a été dégommé et surtout comment sa contestation par les travailleurs avait commencé par des inscriptions murales mettant en cause sa gestion. L'histoire semble se répéter avec son successeur. Le personnel du complexe a découvert il y a deux jours, en arrivant sur les lieux de travail, les mêmes tags, mettant en cause cette fois-ci son remplaçant, Smaïl Kouadria.