Les anciens élèves pilotes de Khalifa-Airways, auxquels le ministère des Transports a permis d'achever leur formation en Jordanie, sont contraints au chômage depuis des mois. Une situation qui, si elle venait à perdurer, pourrait leur faire perdre leur licence de vol. Le règlement international est, en effet, clair à ce sujet : tout pilote, qui n'a pas effectué un certain nombre d'heures de vol durant une année, est tenu de refaire sa formation pour pouvoir exercer. C'est pour cette raison que les anciens élèves de Khalifa-Airways espèrent vivement qu'Air Algérie les recrutera, d'autant que la Compagnie nationale a besoin de pilotes pour ses ATR.