Un récent communiqué de la porte-parole du ministère français des Affaires étrangères vient confirmer, si besoin était, à quel point la question des médias et de la presse en Algérie constituait un enjeu qui excède les seules limites (...)
Un récent communiqué de la porte-parole du ministère français des Affaires étrangères vient confirmer, si besoin était, à quel point la question des médias et de la presse en Algérie constituait un enjeu qui excède les seules limites (...)
La même hargne comme le premier jour
Dix semaines après le début des marches de mars - celle du 22 février ne me paraît devoir y être rapportée-, il est difficile de ne pas percevoir moins la lassitude que la montée irrépressible des interrogations, (...)
La place du FLN n'est pas dans un musée, mais dans le coeur de tout Algérien attaché à l'indépendance de son pays
Au lendemain du 19 juin 1965, ce qui tenait lieu du FLN était pourvu d'une portion congrue, l'éphémère «Secrétariat exécutif» dont (...)
Benjamin Stora lors d'un de ses séjours à Constantine
L'initiative de cet hommage revient à ses anciens doctorants - Naima Yahi, Marie Chominot, Tramor Quememeur directement impliqués dans son organisation
C'est sous l'égide du président de la (...)
img src="http://www.lexpressiondz.com/img/article_medium/photos/P180603-24.jpg" alt=""J'AI TOUJOURS PARLé D'EXIL DANS MES TRAVAUX"" /
L'Expression: Quel sens donnes-tu à cet hommage, un historien peut-il prendre sa retraite?
Benjamin Stora: Il (...)
Un café riche de sa longue histoire
Se pouvait-il qu'il y ait du cha'bi à Constantine définitivement chevillée aux splendeurs du malouf?
«Les Editions du Champ Libre» organisent dans la soirée d'aujourd'hui, à l'emblématique Café Riche à partir de (...)
L'islam a légitimement droit de cité au sein de la société française
J'ai remis à mon éditrice, il y a de cela quelques semaines, un manuscrit portant pour titre «Musiciens juifs constantinois». L'appel parisien stigmatisant l'islam et les musulmans (...)
En 2015, la réédition par l'éditeur Robert Laffont du roman Les Décombres (Paris, Denoël, 1942) de Lucien Rebatet, longtemps maintenu au purgatoire, révèle un sombre succès de librairie, bénéficiant d'une tapageuse réception critique. La publication (...)
Les Algériens célébraient le Nouvel An amazigh, Yennayer - qui correspond au 12 janvier de chaque année - sans réellement en percevoir le signifiant et la portée existentielle pour notre peuple. En effet, loin du folklore dans lequel il a été (...)
J'observe dans différents médias (El Watan-Etudiant, 8 et 15 novembre 2017 ; Le Quotidien, 2 novembre 2017 ; Le Soir d'Algérie, 8 octobre 2017) le signalement du paradoxe systémique de la pensée, des modes de gestion et des atermoiements concernant (...)
J'observe dans différents médias : El Watan-Etudiant', 8 et 15 novembre 2017, Le Quotidien d'Oran', 2 novembre 2017, Le Soir d'Algérie', 8 octobre 2017, le signalement du paradoxe systémique de la pensée, des modes de gestion et des atermoiements (...)
C'est en 1934 que le poète andalou Fédérico Garcia Lorca (1) écrit cette complainte – A cinquo de la tarde dans sa version originale – à la mémoire de son ami Ignacio Sanchez Mejas, tué par le taureau qu'il toréait et qui reprend, sur un rythme (...)
C'est en 1934 que le poète andalou Fédérico Garcia Lorca (1) écrit cette complainte – A cinquo de la tarde dans sa version originale – à la mémoire de son ami Ignacio Sanchez Mejas, tué par le taureau qu'il toréait et qui reprend, sur un rythme (...)
«Tonton Bachir-Cherif», c'est ainsi que je t'appelais affectueusement et toi tu m'appelais «La petite». Je n'aurais jamais pensé que la prochaine fois que je reprendrai ma plume ça serait pour écrire en ta mémoire. On se dit innocemment que nous (...)
La date du 8 mai 1945 est l'une des rares, inscrite au calendrier des fêtes légales en Algérie, qui fasse l'objet d'un rappel des crimes de la colonisation française par le régime algérien et l'évocation, par le président algérien, de «fours à (...)
C'est aussi à l'université Ferhat Abbas de Sétif – arrêté lors des événements et suspecté d'en être l'inspirateur – que l'ambassadeur de France en Algérie, Colin de Verdière, esquisse les premiers pas vers la prise en compte de ce qu'il avait (...)
Pr Abdelmadjid Merdaci
Docteur d'Etat en sociologie et enseignant-chercheur à l'université de Constantine
Venise, août-septembre 1966. Le film La bataille d'Alger adapté par le cinéaste italien Gillo Pontecorvo, des mémoires éponymes de Yacef Saâdi, (...)
Venise, août-septembre 1966. Le film La bataille d'Alger adapté par le cinéaste italien Gillo Pontecorvo, des mémoires éponymes de Yacef Saâdi, responsable militaire de la zone autonome d'Alger durant les années 1956-1957, remporte le Lion d'or, la (...)
Venise, août-septembre 1966. Le film «La bataille d'Alger» adapté par le cinéaste italien Gillo Pontecorvo, des mémoires éponymes de Yacef Saâdi, responsable militaire de la Zone autonome d'Alger durant les années 1956-1957, remporte le Lion d'or, (...)
Par Pr Abdelmadjid
Merdaci
Historien
La 28 janvier 1957, les Algériens étaient appelés à observer «une grève générale de huit jours sur l'ensemble du territoire national algérien à l'occasion du débat à l'ONU sur la question algérienne. Il est (...)
La 28 janvier 1957, les Algériens étaient appelés à observer «une grève générale de huit jours sur l'ensemble du territoire national algérien à l'occasion du débat à l'ONU sur la question algérienne. Il est indispensable — souligne le communiqué du (...)
Bien qu'appréhendée par ses proches, à la suite d'une série d'hospitalisations, la disparition de Hadj Mohamed-Tahar Fergani avait pu surprendre, provoquer une émotion partagée d'un bout à l'autre de l'Algérie et appeler les prévisibles hommages que (...)
En ce vendredi gris, l'hommage officiel attendu – c'est le ministre de la Culture qui lira l'oraison funèbre en présence de Abdelmalek Sellal et des autorités civiles et militaires de la région – n'aura pas fait ombrage à la dimension populaire de (...)
Le professeur Nacer Djidjeli réunit un sinistre catalogue de charges irrémissibles contre son pays, son peuple et ses dirigeants, pour plaider une défense sans aucun fondement critique de l'auteur-billettiste – et, accessoirement apprenti sorcier – (...)