«L'Algérie à l'avant-garde du tiers-monde»
«En février 1965, Che Guevara participe à un séminaire de solidarité ''afro-asiatique''. Alger devient la ''Mecque des révolutionnaires''. On parlait beaucoup de panarabisme, d'Union arabe et du succès (...)
«L'Algérie à l'avant-garde du tiers-monde»
«En février 1965, Che Guevara participe à un séminaire de solidarité ''afro-asiatique''. Alger devient la ''Mecque des révolutionnaires''. On parlait beaucoup de panarabisme, d'Union arabe et du succès (...)
Des présidentielles qui nous auront au moins appris à compter jusqu'à quatre. Un : le premier fou rire de la campagne, celui de l'intervieweur du candidat Rabah Chérif qui nous avait déjà fait bien rire en 1989 avec son projet de mer intérieure et (...)
Des présidentielles qui nous auront au moins appris à compter jusqu'à quatre. Un : le premier fou rire de la campagne, celui de l'intervieweur du candidat Rabah Chérif qui nous avait déjà fait bien rire en 1989 avec son projet de mer intérieure et (...)
L'escalade dans l'ignoble. On en est arrivé là. Et pour comble, voilà qu'ils se disputent en plein jour ! Comme Courteline, j'ai envie de crier : «Oui, vos ordures ! C'est ragoûtant, peut-être, ce que vous faites là ! » N'en jetez plus, et surtout (...)
L'escalade dans l'ignoble. On en est arrivé là. Et pour comble, voilà qu'ils se disputent en plein jour ! Comme Courteline, j'ai envie de crier : «Oui, vos ordures ! C'est ragoûtant, peut-être, ce que vous faites là ! » N'en jetez plus, et surtout (...)
«Relire le passé pour construire l'avenir», le titre du compte rendu du quotidien Liberté serait plus utile à la revue Alger/Paris présenté comme une tentative de ré-enchanter les rapports franco-algériens, que celui choisi «La mémoire et après ?» (...)
«Relire le passé pour construire l'avenir», le titre du compte rendu du quotidien Liberté serait plus utile à la revue Alger/Paris présenté comme une tentative de ré-enchanter les rapports franco-algériens, que celui choisi «La mémoire et après ?» (...)
Un miroir pour renvoyer leur propre image à ceux qui n'ont que la force pour nous empêcher de penser. Quelle idée formidable ! Cette semaine entre la Tunisie et nous, cela aurait été la Galerie des glaces ! Kamel Daoud en tête brandissant un miroir (...)
Un miroir pour renvoyer leur propre image à ceux qui n'ont que la force pour nous empêcher de penser. Quelle idée formidable ! Cette semaine entre la Tunisie et nous, cela aurait été la Galerie des glaces ! Kamel Daoud en tête brandissant un miroir (...)
Cette semaine est mort Christian Gazi, philosophe et cinéaste libanais, à 69 ans. Le Daily Star dit de lui, «Le grand survivant des années 70». Sans doute qu'aucun d'entre vous n'a vu un de ses films, et encore moins ne l'a rencontré. Ni moi (...)
Cette semaine est mort Christian Gazi, philosophe et cinéaste libanais, à 69 ans. Le Daily Star dit de lui, «Le grand survivant des années 70». Sans doute qu'aucun d'entre vous n'a vu un de ses films, et encore moins ne l'a rencontré. Ni moi (...)
Le 3 décembre, il y a 23 ans était assassiné Saïd Mekbel*, le 3 décembre il y a 4 jours mourait Ahmed Fouad Negm**… Il y a des jours comme ça, traversés par des évènements qui font qu'ils comptent plus que d'autres. Pas tous, car que nous importe (...)
Le 3 décembre, il y a 23 ans était assassiné Saïd Mekbel*, le 3 décembre il y a 4 jours mourait Ahmed Fouad Negm**… Il y a des jours comme ça, traversés par des évènements qui font qu'ils comptent plus que d'autres. Pas tous, car que nous importe (...)
«Mon pays vulnérable est un oiseau de lune. Mon pays empalé sur le fer des consciences.» Nadia Tuéni, poétesse libanaise (1935-1983) en peu de mots, met en scène le drame libanais et le nôtre. Un drame qui rejoue sans cesse la même scène. (...)
«Mon pays vulnérable est un oiseau de lune. Mon pays empalé sur le fer des consciences.» Nadia Tuéni, poétesse libanaise (1935-1983) en peu de mots, met en scène le drame libanais et le nôtre. Un drame qui rejoue sans cesse la même scène. (...)
Camus ne cesse de nous hanter. Pas moins de trois ouvrages écrits par trois noms des lettres algériennes, Salah Guemriche, Kamel Daoud et Salim Bachi, viennent s'ajouter à la masse des écrits, émissions, articles, rééditions, colloques, conférences (...)
Camus ne cesse de nous hanter. Pas moins de trois ouvrages écrits par trois noms des lettres algériennes, Salah Guemriche, Kamel Daoud et Salim Bachi, viennent s'ajouter à la masse des écrits, émissions, articles, rééditions, colloques, conférences (...)
Des robes blanches décolletées, des baisers, des déclarations d'amour, du champagne ! Tout ça où ? Chez nous, au vu et au su de tout le monde ! À Tipasa, pas très loin des ruines. Me revient d'ailleurs une scène du film de Lamine Ammar-Khodja, (...)
Des robes blanches décolletées, des baisers, des déclarations d'amour, du champagne ! Tout ça où ? Chez nous, au vu et au su de tout le monde ! À Tipasa, pas très loin des ruines. Me revient d'ailleurs une scène du film de Lamine Ammar-Khodja, (...)
Elle va encore parler du voile ! Non, ni du sacrifice du mouton. Là aussi je suis d'accord avec ceux qui pensent qu'il y a overdose de regards suppliants des bêtes du Bon Dieu et de couteaux sanguinolents. On nous a même dit que certains avaient (...)
Elle va encore parler du voile ! Non, ni du sacrifice du mouton. Là aussi je suis d'accord avec ceux qui pensent qu'il y a overdose de regards suppliants des bêtes du Bon Dieu et de couteaux sanguinolents. On nous a même dit que certains avaient (...)
Il y a 25 ans, l'Algérie connut une rébellion sanglante. 800 jeunes massacrés. 25 ans déjà. Une occasion pour certains de mettre en perspective ces événements avec les révolutions arabes. Un journal vulcanien parle de «réplique». Pour les vieux (...)
Il y a 25 ans, l'Algérie connut une rébellion sanglante. 800 jeunes massacrés. 25 ans déjà. Une occasion pour certains de mettre en perspective ces événements avec les révolutions arabes. Un journal vulcanien parle de «réplique». Pour les vieux (...)
Attablée à La Caravelle, le regard perdu sur le Vieux port, j'attends une cinéaste espagnole. Nous sommes à Marseille pour le Festival de Films de Femmes de la Méditerranée. Je me déconnecte, au bord de la déprime. Over dose d'infos faceboukiennes. (...)