Par : MOHAMED BENCHICOU
"Il faut les éradiquer !"
L'auteur de cet appel (au meurtre ?) vise les Algériens qui se considèrent non-musulmans. Il ne s'agit pas d'un obscur prédicateur d'une mosquée de province. L'homme qui vient de lancer cette (...)
Par : MOHAMED BENCHICOU
Il aura patienté un siècle, dira-t-on, pour, au final, être enterré avec ses impatiences. Ali Yahia Abdenour serait-il donc mort en homme inassouvi ? Peut-être. Tant d'années à dénoncer "le système hégémonique", à militer (...)
Par : MOHAMED BENCHICOU
Peut-être nous pardonneras-tu d'avoir fait de ta vie un champ de bataille pour que la nôtre ne le soit pas. Tu es morte en femme magnifiquement incomprise. C'était le risque avec des personnages comme toi, ni Dieu ni maître. (...)
Il était, parmi les journalistes qui composaient la rédaction du Matin, celui qui, incontestablement, possédait la plus vaste connaissance des choses de ce monde qu'on appelle culture mais aussi la plus élégante plume, celle, du moins, qu'on ne se (...)
J'ai, en fait, deux bonnes raisons de ne pas te remercier pour ton saisissant hommage au Matin publié dans le Soir d'Algérie. La première, la moins discutable sans doute, c'est que devant l'élégance morale, on ne se confond pas en gratitudes. On (...)
Il est pour le moins cocasse, pour ne pas dire burlesque, qu'une justice dont on s'est empressé de proclamer qu'elle a recouvré son indépendance, se fasse les crocs sur une proie aussi singulière qu'Issad Rebrab, c'est-à-dire un de ces rares (...)
Je le savais capable de tout pour me contenter. Je ne pensais pas qu'il irait jusqu'à me laisser lui survivre. Sans doute ne l'ai-je pas vu vieillir trop tôt, vieillir avant l'âge, vieillir comme on peut l'être dans ce pays dépouillé de ses soleils (...)
J�ai lu avec beaucoup d'�motion votre hommage � Georges Guingouin, chef du plus grand maquis de la r�sistance fran�aise, le maquis du Limousin, � l�occasion de la diffusion sur France 3 du film que Fran�ois Marthouret lui a consacr�.(1)
Guingouin (...)
La premi�re attaque frontale contre le roman, La parfumeuse(1) , est donc sign�e d�un �ancien officier de l�ALN�, d�une certaine ALN allais-je dire, et cela n�a rien d�anodin.
L�histoire d��milie Busquant, sa vie lumineuse mais aussi sa fin (...)
sur le livre de Mohamed Benchicou, l'auteur a rendu publique sa réponse dont nous publions l'intégralité.
Me croirez-vous, Monsieur le ministre ?
Vous avez justifié, à vous seul, le titre de mon roman. En vitupérant, en termes scatologiques, (...)
Me croirez-vous, monsieur le ministre ? Vous avez justifi�, � vous seul, le titre de mon roman. En vitup�rant, en termes scatologiques, contre un livre que vous n�avez pas lu, en trompant consciemment l�opinion, vous n�avez pas seulement failli au (...)
Tout est dans l�incroyable d�doublement de Mostefa Bouchachi. L�ancien Bouchachi � dont il convient, en d�pit de tout, de respecter le parcours et l�opinion � avait le verbe haut et le regard d�termin�. Le 1er f�vrier, il clamait : �Le r�gime sait (...)
Elle cherchait désespérément un livre de Mohamed Arkoun, mais dans l'île de Barrataria, il n'y avait pas de place pour le penseur.
Le contraire aurait d'ailleurs relevé du bon sens, mais, comme chacun le sait, dans ce fief imaginaire de Sancho (...)
Le contraire aurait d'ailleurs relevé du bon sens, mais, comme chacun le sait, dans ce fief imaginaire de Sancho Pança, fidèle compagnon du chevalier Don Quichotte, écuyer errant qui a toujours rêvé d'être roi et qui s'autoproclama gouverneur de (...)
ABDELMALEK SELLAL MINISTRE DES RESSOURCES EN EAU :
�Vingt ans, d�j� ! C�est ancien mais tr�s jeune�
�En cette heureuse circonstance, je voudrais vous pr�senter mes f�licitations pour la qualit� du travail accompli et pour votre contribution � (...)
Monsieur le Président,
Il se dit, depuis le sommet du G 8, que vous caressez le projet de recevoir en août, à Washington, 18 chefs d'Etat africains pour fêter les 50 ans d'indépendance de leurs pays. A entendre vos conseillers, vous verriez là (...)
Monsieur le Président,
Il se dit, depuis le sommet du G 8, que vous caressez le projet de recevoir en août, à Washington, 18 chefs d'Etat africains pour fêter les 50 ans d'indépendance de leurs pays. A entendre vos conseillers, vous verriez là (...)
C'est encore sur l'humeur exécrable de Madame la ministre de la Culture, contrariée pour la troisième année consécutive par la sortie d'un livre désagréable, que s'est ouvert le Salon du livre d'Alger et j'en viendrais presque à jubiler d'être enfin (...)
C'est encore sur l'humeur exécrable de Madame la ministre de la Culture, contrariée pour la troisième année consécutive par la sortie d'un livre désagréable, que s'est ouvert le Salon du livre d'Alger et j'en viendrais presque à jubiler d'être enfin (...)
Madame la ministre de la Culture. Cette lettre n�est pas une r�plique au triste �talage de contrev�rit�s et de diatribes diffamantes que vous avez prof�r�es � mon endroit lors de votre conf�rence de presse du 21 octobre 2008. Pour tout vous dire, je (...)
Qu'il est pénible d'être forcé au partage du choix hypocrite des tyrans arabes ! Invité au Salon du livre de Paris, où je dois signer mon dernier livre, j'ai décidé de ne pas m'y rendre, mais de grâce, ne voyez dans mes modestes motivations aucun (...)
Qu'il est pénible d'être forcé au partage du choix hypocrite des tyrans arabes ! Invité au Salon du livre de Paris, où je dois signer mon dernier livre, j'ai décidé de ne pas m'y rendre, mais de grâce, ne voyez dans mes modestes motivations aucun (...)
Quitte � d�plaire aux esprits oublieux, comparses ou grimaciers, il va nous falloir dire la v�rit� en ce 3 mai 2007 : la presse alg�rienne reste l'une des plus pers�cut�es de par le monde, et par un r�gime qui reste l'un des plus liberticides de la (...)
Dans une lettre publi�e dans Le Soir d�Alg�rie du 25 d�cembre, l�avocat de la chanteuse Amel Wahby, Me Aur�lien Chardeau, conteste quelques aspects du compte rendu fait par un de vos journalistes de l�audience du 21 d�cembre qui m�a oppos� � sa (...)
Vous devinez mes amis, mes confr�res, mes compagnons de lutte, amis lecteurs du Matinqui ne d�sesp�rez pas de renouer avec votre journal, vous devinez ma joie de vous retrouver en cette journ�e de printemps, en libert�, apr�s deux longues ann�es (...)