Difficile et périlleux de mener un débat entre clans, d'organiser une primaire au sein du parti qui reflète l'image du pouvoir ? De mener un débat sur les émeutes ? Dangereux de mener un débat sur la «harraga ?» Impossible de mener un débat sur le (...)
Toute alliance est à bout de souffle. Elle ne fait plus l'actualité que par ses divisions internes. Pas d'innovations, pas de concepts nouveaux. Tout a été dit et redit. Elle devait s'ériger en pôle rassemblé de puissance mais a fini par des (...)
Un régime chute-t-il pour des raisons liées aux conditions socio-économiques de leur peuple ou de celles des frustrations politiques liées à l'absence de libertés publiques et politiques ? Pour ce qui concerne la Tunisie par exemple, les (...)
Les régimes arabes sont parfois qualifiés de dictateurs, parfois même considérés de tyrans, d'autoritaristes, mais jamais de démocrates. D'ailleurs, pour illustrer ces perceptions, dès qu'un pays arabe annonce des réformes politiques pour entrer (...)
Quand les «capitales» arabes s'affolent et s'estiment dans une impasse dangereuse pour les régimes plus particulièrement et les pays, c'est la course pour la recherche d'abris internationaux et même leur mise sous protectorats étrangers.
Ils (...)
Il est évident que, pour jauger une économie de marché et surtout comment celle-ci fonctionne, nous n'avons que les modèles des Occidentaux comme référence.
Du moment que nous appelons économie de marché le modèle que nous pratiquons, nous sommes (...)
Malgré les ajustements opérés par le gouvernement pour réduire les déficits budgétaires, dans les deux précédentes lois de finances, en raison de la faiblesse des prix des hydrocarbures, le capital productif reste très en retrait des espérances, en (...)
L'exercice du pouvoir par les partis politiques a normalement usé les partis politiques, toutes catégories confondues. Sont-ce, de part et d'autre de la ligne de fracture qui sépare le camp du pouvoir de celui de l'opposition, les chefs des partis (...)
Depuis longtemps, tout a été fait pour décrire le champ politique comme théâtre d'opérations semi-clandestines autour d'enjeux liés à l'idéologie et à la nature de l'Etat. Une logique de confrontation entre la démocratie et l‘islamisme ? Plutôt une (...)
Dans toute économie -ou plutôt dans tout pays-, ce ne sont pas les intérêts apportés à l'économie -ou plutôt aux affaires ; certains disent climat d'affaire- qui vont manquer, tout le temps, éternellement.
Alors que prioriser, les intérêts (...)
On dit que le terrorisme est vaincu politiquement et militairement. C'est ce que l'on dit. Il serait donc éradiqué sur le plan idéologique et il aurait abandonné toute volonté de reprendre la pratique de la violence armée. Il ne s'appellerait donc (...)
Dans les cas répétés des crimes collectifs commis à l'encontre des Etats arabes, ce sont toujours ces derniers qui sont les cibles des destructeurs, et les prétendants constructeurs sont des Occidentaux. Les mêmes Etats destructeurs, les mêmes (...)
Il y en a de ceux qui se considèrent au pouvoir mais qui savent très bien qu'en fait il n'en est rien de cela et font en plus dans l'«accéléré» en se permettant de donner leur avis avant même que le Président ne donne le sien. Ils disent par exemple (...)
On ne sait plus qui est l'allié et qui n'est pas et qui est l'ennemi. L'ennemi du jour. A qui doit ressembler l'ennemi et à qui doit ressembler l'allié ? Ennemi jusqu'à où et jusqu'à quand ? Allié jusqu'à où et jusqu'à quand ? On se pose ces (...)
Le thème de la coopération en matière de lutte antiterroriste est inépuisable et il serait bon qu'on ne l'évacue pas dans notre vie quotidienne. On sait que des radars scrutent l'ensemble des pays arabes.
Des inspections de grande proximité. Des (...)
Les voleurs de voitures ne baissent pas les bras. C'est, de toute façon, le constat conjuré par nombre d'analystes depuis qu'il est fait savoir que nos sources extérieures s'amenuisent et que nous arriverons devant la porte du FMI.
Quand il n'y aura (...)
Un régime chute-t-il pour des raisons liées aux conditions socio-économiques de leur peuple ou de celles des frustrations politiques liées à l'absence de libertés publiques et politiques ? Pour ce qui concerne la Tunisie par exemple, les (...)
Un régime, chuterait-il pour des raisons liées aux conditions socio économiques de leur peuple ou de celles des frustrations politiques liées à l'absence de libertés» publiques et politiques ? Pour ce qui concerne la Tunisie par exemple, les (...)
Plus on avance dans la certitude que le terrorisme, c'est pratiquent fini, et que les autorités n'en parlent que pour signifier que la paix est revenue, plus les populations abandonnent les postures de vigilance qu'elles avaient l'habitude (...)
Dans les nouvelles guerres, ce sont les populations civiles qui en subissent les affres. Réfugiées en masses, handicapées en masses, assassinées en masses, affamées en masses. Les guerres commencent par les bombardements des populations, des (...)
Et si un pays pouvait être assimilé à une entreprise économique et évalué comme telle ? Combien d'entre eux pourraient-ils échapper à un dépôt de bilan ? Quelqu'un disait qu'il faudrait « traiter les citoyens aussi bien que les actionnaires ».
Les (...)
Il y en a de ceux qui se considèrent au pouvoir mais qui savent très bien qu'en fait il n'en est rien de cela et font en plus dans l'«accéléré» en se permettant de donner leur avis avant même que le Président ne donne le sien.
Ils disent par exemple (...)
Plus on avance dans la certitude que le terrorisme, c'est pratiquement fini, et que les autorités n'en parlent que pour signifier que la paix est revenue, plus les populations abandonnent les postures de vigilance qu'elles avaient l'habitude (...)
Tout se passe comme si des pays maghrébins ne pensent pas que leur avenir est fatalement lié à celui du Maghreb, tout comme également ces pays ne pensent pas que seul leur rapprochement, à défaut de leur union, pourra les mettre à l'abri de toute (...)
Les faibles et les forts n'ont pas la même perception de la souveraineté nationale. Pas la même perception des moyens à utiliser pour préserver chacun la sienne.
Les forts (militairement bien sûr) ont une conception de leur propre souveraineté (...)