Je suis convaincu que l'ultime embellie n'attend plus que le 1er Novembre prochain pour irradier les urnes et mettre fin à l'amateurisme qui a caractérisé la gouvernance en Algérie depuis 1962. Une façon de gouverner qui a marqué les annales depuis (...)
Cette façon de faire ne risquerait-elle pas d'accentuer davantage l'éloignement, quasiment irréversible chez certains, de la raison qui, durant la nuit du 1er au 2 novembre 1954, avait poussé les «fils de la Toussaint» à rompre, les armes à la main, (...)
Quand on examine de près le mot «violence» on s'aperçoit que l'usage qui en est fait par les hommes, remonte à la nuit des temps. Ce qui n'est pas le cas de la terreur qui, elle, est, bel et bien datée, avec précision. Selon l'érudit et vaillant (...)
Conseillés par les conjoncturistes occidentaux, les Emirats arabes unis ont vu la capacité d'accueil déborder de réservations depuis l'apparition de leurs premiers gratte-ciels. Aussi, pour vendre leur «isolement» féerique à une clientèle passionnée (...)
Désormais, les Emiratis auxquels il faut ajouter le Bahreïn ont confirmé, le 15 septembre dernier, leur soumission comme vassaux au sionisme israélien. Comment sociologiquement lire cette idée dévastatrice? Se seraient-ils inspirés de l'Egypte et de (...)
Scène du film
Beaucoup de monde à l'avant-première du film Hanachia du cinéaste Boualem Aïssaoui, la semaine dernière. De nombreux cinéphiles, mais aussi de simples citoyens venus sans doute par amour du bon cinéma, dans une vraie salle (...)
L'avenue du 1er Novembre
L'objectif de cette chronique sort en effet du contexte tout en lui empruntant beaucoup.
Tout porte à croire que l'heure de gommer les rides qui ont défiguré Alger ces dernières années, a bel et bien sonné. La nouveauté est (...)
Le réalisateur (à gauche) sur les lieux du tournage
Un film d'1 heure 50 dont les spectateurs qui ont eu la chance de le visionner, sont pour la majorité d'entre eux ressortis des salles de projection les yeux en larmes tant l'émotion qui les (...)
En administrant un cours magistral à tous ceux qui, ici et à l'étranger, en avaient été prévenus par médias interposés, à l'effet de se réserver la bonne place devant l'écran de leur téléviseur pour suivre son discours de bout en bout, le Président (...)
C'est, on ne peut le nier, le réalisme qui a toujours guidé les pas du Chef de l'Etat. Quarante-neuf ans après l'indépendance, il est toujours là, débout, imperturbable et stoïque comme un amiral face à l'adversité et les cris d'orfraie des (...)
Ayant appris à lire et à écrire, nos jeunes prennent hélas souvent le contenu des commentaires tendancieux de la presse nationale pour argent comptant, et c'est de là que leur vient ce qu'on a appelé jusqu'ici le mal-vivre. Non seulement elle se (...)
En attendant que la raison redevienne la norme et reprenne ses prérogatives pour diriger les nations, la realpolitik nous impose la sienne qui est celle du plus fort qui a toujours raison. Le monde arabe en ébullition ? C'est vrai ! Mais c'est aussi (...)
La démocratie serait-elle réellement l'objet cardinal de la quête des marcheurs du samedi ? Si c'était le cas je les rassure : ils devront revenir d'ici 30 ou 40 ans pour constater que leur quête est en train de prendre forme. S'ils s'entêtent, ils (...)
La question qui se pose est la suivante : pourquoi une telle dépense d'énergie à un moment justement où l'Algérie a besoin plus que jamais d'avoir les coudées franches pour tenir ses promesses économiques ? e printemps approche. Il doit, comme de (...)
Une bonne nouvelle : l'Algérie se normalise. Vendredi dernier à minuit, elle a troqué l'état d'urgence en vigueur dans le pays depuis 19 ans au profit d'une démarche encore plus vigoureuse de son développement. Instauré pour rendre plus efficace la (...)
Notez bien cette date : le 12 février 2011. Sur l'initiative d'une opposition politique de moins en moins convaincante par manque d'imagination et, pourquoi pas, de conviction sur son sort, Alger s'est trouvé acculé à prendre des mesures (...)
Il y a quelques jours, au moment ou l'on s'y attendait le moins, une sorte de fièvre obsidionale se saisissait des médias, les poussant à plaider haut et fort la suppression de la peine de mort. Quelle vaillance pour un plaidoyer qui n'aura duré que (...)
Quelles questions avons-nous le devoir de poser au vu de la situation qui prévaut en Algérie depuis un peu plus d'une semaine maintenant ? Par quoi expliquer qu'un pays qui, depuis cinq ans, ne connaît pas de répit à œuvrer pour créer les (...)
La démocratie telle qu'elle a fonctionné au fil des siècles, a-t-elle partout et de tout temps satisfait les attentes de ses partisans? Il s'agit ici d'une question mais aussi d'un point de vue qui semble loin d'être déraisonnable. Et d'ailleurs, si (...)
Le moins que puissent en dire les esprits lucides se traduit ainsi : «L'Algérie va bien !». Et moi j'ajouterai, quoi qu'en déduiraient ses détracteurs, qu'elle va bien mieux qu'il y a quelques années où les assassinats par balles le disputaient aux (...)
Une journée vient d'être consacrée par l'Algérie à faire connaissance avec Enrico Mattei, l'ancien patron de l'ENI mort dans un accident d'avion le 27 octobre 1962. Il n'est jamais trop tard pour bien faire. Mais qui est Mattei ? Si l'on vous disait (...)
Le 29 novembre est une date qui revient chaque année pour rappeler que, quelque part, dans le monde, l'injustice continue d'avancer pour sévir, en bénéficiant de la compréhension de certaines grandes puissances. Une problématique qui date mais qui (...)
Avant-hier la présentation du projet de relance du cinéma en Algérie présenté à l'Assemblée nationale par la ministre de la Culture Khalida Toumi, a fait mouche alors que l'atmosphère parlementaire n'était pas encore chauffée à blanc. La riposte, (...)
Pour qu'une certaine fraîcheur reste perceptible dans l'évocation narrative tout en continuant à nourrir de sa sève le souvenir de la fameuse nuit qui a creusé le tombeau du colonialisme français en Algérie, cette année, nous avons cru opportun de (...)
Cela fait déjà quelques années qu'on remue de la terre à la place des Martyrs à Alger, près de la mosquée Ketchaoua. Que les citoyens se rassurent, ce n'est pas pour rechercher du pétrole. Mais pour établir un contact authentique avec l'histoire de (...)