Si l'Etat veut réellement venir à bout de ce fléau, il doit s'atteler d'abord à lutter contre les raisons qui amènent les sujets à s'abîmer dans la drogue et contre celles qui amènent les autres à se livrer à ce marché.
Le décret exécutif n° 19-379 (...)
Cette année, le Congrès de psychiatrie et de neurologie de langue française (CPNLF) a réservé, dans son programme, une plage horaire pour rendre hommage au professeur Mahfoud Boucebci. C'était en mai dernier à Bastia, en Corse. J'étais parmi les (...)
Le service civil est un dispositif anachronique et totalement inopérant. Une expérience qui a montré son inefficacité sur le terrain et que les pouvoirs publics s'entêtent à poursuivre.
Ne nous y trompons pas, le bras de fer engagé par les médecins (...)
Les médecins résidents ne répugnent certainement pas à aller prendre soin de leurs compatriotes à l'intérieur du pays. Toutefois, chacun sait que les structures de santé de ces régions ne disposent pas des moyens indispensables pour accomplir cette (...)
C'est moins le jeu "Blue whale challenge" qui doit interpeller que l'état psychologique dans lequel se trouve les victimes. Il faut, en effet, se demander pourquoi ces personnes en sont-elles venues à passer à l'acte suicidaire ? Comment un jeu sur (...)
S'il y a faute avérée des professionnels de santé, la responsabilité incombe non pas au personnel de soins mais à l'administration. Au ministre de la Santé d'abord.
Le secteur de la santé publique est très malade. Ce n'est un secret pour personne, (...)
1 - Etat des lieux
Les conduites d'addiction - le vocable toxicomanie aujourd'hui désuet est remplacé par le terme addiction pour désigner les comportements d'intoxication aux drogues - sont un phénomène mondial qui ne peut pas ne pas concerner (...)
Le conseil de l'ordre des professions médicales – médecins, chirurgiens-dentistes et pharmaciens – est né au début des années 90. Une concession qui a été arrachée – au forceps – aux pouvoirs publics hostiles alors à toute forme d'organisation (...)
Jusque-là, les luttes pour le pouvoir dans le monde de la psychiatrie dans notre pays étaient feutrées. Tous les coups étaient permis, mais il y avait encore un peu d'élégance, un peu de classe, les apparences étaient en quelque sorte sauves. Une (...)
Jusque-là, les luttes pour le pouvoir dans le monde de la psychiatrie dans notre pays étaient feutrées. Tous les coups étaient permis, mais il y avait encore un peu d'élégance, un peu de classe, les apparences étaient en quelque sorte sauves. Une (...)
Un billet paru dans le Radar de "Liberté" du 14 juillet dernier a attiré mon attention. Il évoque "les drogues numériques" et tire la sonnette d'alarme sur "une nouvelle forme de toxicomanie" qui constituerait un danger pour notre pays. En voici un (...)
La répression qui s'était abattue sur la région, notamment sur les étudiants, avait indigné la population. La Kabylie tout entière s'était insurgée ; une pression populaire qui avait fait reculer le régime. Les animateurs de la contestation qui (...)
La législation française sur le travail autorise les étudiants, étrangers notamment, à exercer une activité rémunérée de 964 heures par an et l'accès à cette activité est rendu possible par l'inscription, sur la carte de séjour, de la simple mention (...)
La polémique autour du service de pédopsychiatrie de Chéraga n'est pas le fait du hasard. Elle est symptomatique du climat délétère qui prévaut, depuis plusieurs années, dans le monde de la psychiatrie de notre pays. Des conflits de personnes, de (...)
Ce qui vient de se produire au stade de Tizi Ouzou est consternant, grave. Un joueur y laisse la vie uniquement parce que lui et ses coéquipiers n'ont pas offert la victoire que les spectateurs attendaient.
Une pluie de projectiles s'abat sur le (...)
"Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie.
Pour les vaincre, il nous faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace..." Un extrait du discours prononcé par Georges Jacques (...)
Il semble que les pouvoirs publics aient pris conscience de l'état de délabrement dans lequel se trouve notre système de soins et qu'ils aient la volonté d'apporter des solutions au problème. Des assises nationales vont donc se tenir dans les jours (...)
Je ne vais pas revenir, dans ce propos, sur le bilan de la greffe d'organes en Algérie. Il a été fait par les spécialistes concernés auxquels la presse nationale a largement ouvert ses colonnes. Je note toutefois – il est bon de le rappeler aux (...)
Il faut croire que l'émotion provoquée, au début de cette année 2013, par l'enlèvement et l'assassinat des deux enfants de Constantine a profité au pouvoir politique. Ce dernier avait eu l'occasion inespérée pour, simultanément, contenir (...)
Le mois de novembre, le 22, est la date anniversaire de la naissance du Pr Boucebci. Une occasion pour le rappeler à notre souvenir et une opportunité pour mettre en relief une vertu qui avait, de son vivant, animé cet homme de sciences : la (...)
La faculté de droit de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou a organisé, durant la première quinzaine du mois de juin, un colloque consacré aux violences conjugales faites aux femmes. Un moment très particulier qui a interpellé les consciences (...)
La Journée mondiale sans tabac est dans quelques jours. Le 31 mai prochain. L'Algérie va, comme chaque année, faire sien cet événement. Sauf que celui-ci ne sera pas, une fois de plus, l'occasion de mettre en place le dispositif indispensable pour (...)
C'est, aujourd'hui, la vraie question à se poser. Un quatrième mandat, pour quoi faire ? Pour quels objectifs ? Dès lors que le président a, lui-même, fait le constat de l'échec de sa politique. Faut-il perpétuer cette situation ? Il n'est pas (...)
Je ne vais pas spéculer sur les motivations psychologiques qui ont amené les auteurs des meurtres de Haroun et Ibrahim à passer à l'acte. Il faudra pour cela pratiquer un profond examen mental, procéder à une véritable expertise psychiatrique.
Un (...)
Il y a quelques mois, je reçois un courrier qui porte cette adresse : “12 salopards, nouvelle ville, Tizi Ouzou". Cette lettre m'est, sans doute, parvenue parce que le facteur me connaît bien. Chacun comprendra que cela n'est pas, bien sûr, le nom (...)