Résumé de la 2e partie n Le souvenir de son père n'avait jamais cessé de la hanter. Elle lui parlait dans ses rêves.
La nuit même, ils étaient dans les bras l'un de l'autre. R'hoda n'avait jamais connu d'homme et Vincent le comprit. Ils décidèrent (...)
Fascination n R'hoda, que Mme Patrice avait habillée d'une jolie robe à petits pois, était belle à ravir.
Lorsqu'elle entra au service de la famille Patrice, tous les mâles de la maison comprirent vite qu'elle était intouchable lorsqu'elle griffa (...)
Retour n Elle avait quitté Mostaganem en 1962. Elle avait 19 ans. Aujourd'hui elle en a près de 60.
Son bras gauche pendait nonchalamment le long de la portière de la Lancia et avec son pouce, elle faisait tourner la bague très originale, surmontée (...)
Résumé de la 2e partie n Les youyous fusèrent dans tous les Aurès et au Sahara, la poudre parla.
Si L'hachemi fit tourner la balle de cuivre entre ses doigts. Ses yeux étaient perdus dans le vague. Il réfléchissait. Il savait qu'il allait (...)
Résumé de la 1re partie n Un coup de feu retentit pendant qu'un mince filet de fumée sortait de sous le pont. Si Ali Bey s'effondra. Il avait été touché au dos et la balle se logea en plein cœur.
Le cocher ne cessa de fouetter le cheval que lorsque (...)
Complot n Il eut recours à deux tueurs. Deux ouvriers agricoles d'Oued Souf.
Vers la fin des années 1930, Khenchela était un gros bourg délicieux de quelques milliers d'âmes. Des Chaouias, quelques Arabes de grande tente, des Européens et des juifs (...)
Engagement Serment a été fait à Moncef de réparer l?injustice. C?est fait.
La population ressentait une grande amertume de devoir plier l?échine devant ces infidèles en uniforme rutilant, mais la supériorité militaire des Français était énorme et (...)
Unificateur Toutes les tribus du nord de Tébessa et certaines de Tunisie se rallièrent sous son étendard.
Quarante années après l?indépendance, une tribu de l?extrême est de Ouerfella attend toujours qu?on lui rende justice et qu?on la réhabilite à (...)
Banalisation La corruption est devenue le phénomène le plus manifeste et le plus répandu.
En effet, un récent rapport du Cnes disait d?elle qu?elle s?étale en plein jour.
Pourtant, jusqu?à la moitié des années 1970, la corruption était encore très (...)
C'est maintenant un comportement consacré. Malgré les maintes et tout aussi vaines campagnes de lutte contre la bureaucratie, les administrés et autres usagers sont devenus, au fil des ans et l'impunité aidant, les souffre-douleur d'une (...)
Coqueluche Djillali est un très beau garçon. Il a à peine vingt-cinq ans. Il a le contact facile et tout son entourage l?aime bien, surtout les femmes qui lui trouvent un charme fou.
A Oran, tout le monde sait qu?il est de Sidi Bel Abbes, sans plus. (...)
Fierté Les youyous fusèrent dans tous les Aurès et au Sahara, la poudre parla.
Si L?hachemi fit tourner la balle de cuivre entre ses doigts. Ses yeux étaient perdus dans le vague. Il réfléchissait. Il savait qu?il allait entreprendre une bien (...)
Attentat Un coup de feu retentit pendant qu?un mince filet de fumée sortait de sous le pont. Si Ali Bey s?effondra. Il avait été touché dans le dos et la balle se logea en plein c?ur.
Le cocher ne cessa de fouetter le cheval que lorsque la calèche (...)
Complot Il eut recours à deux tueurs. Deux ouvriers agricoles d?Oued Souf.
Vers la fin des années 1930, Khenchela était un gros bourg délicieux de quelques milliers d?âmes. Des Chaouias, quelques Arabes de grande tente, des Européens et des juifs y (...)
Remords Le souvenir de son père n?avait jamais cessé de la hanter. Elle lui parlait dans ses rêves.
La nuit même, ils étaient dans les bras l?un de l?autre. R?hoda n?avait jamais connu d?homme et Vincent le comprit. Ils décidèrent de partir ensemble (...)
Retour Elle avait quitté Mostaganem en 1962. Elle avait 19 ans.
Aujourd?hui elle en a près de 60.
Son bras gauche pendait nonchalamment le long de la portière de la Lancia et de son pouce, elle faisait tourner la bague très originale, surmontée (...)
Les mariages à la sétifienne coûtent assez cher. Certains nantis dépensent des sommes mirobolantes, surtout pour épater la galerie. Mais même dans la classe moyenne, les mariages représentent un budget énorme. Il faut plusieurs années d?économie ou (...)
Les conditions du mariage et le «shart» sont conclus devant Dieu et les hommes.
Ce sont les femmes, généralement la mère et la s?ur du prétendant, qui, les premières, vont se rendre au domicile d?une fille pour entreprendre les premiers contacts et (...)
Parcours Il est né dans les années 1920, dans un petit douar près de Tahir, dans la région de de Djidjel. Appelons-le Ali.
Toute sa famille était démunie et il fallait que tous, hommes et femmes, travaillent très dur pour arracher une bien maigre (...)
Poésie «Ô Djazia ! Ta salive est plus agréable à mes lèvres que la fraîche source de l?oasis après une longue course?».
Chréa, Zouï, Souk-Ahras, Aïn Beïda, autant de gros bourgs mangés par la laideur et la mal vie, partout les rues y sont défoncées (...)
Blidet Amor C?est une toute petite oasis pas très loin de Tamacine, près de Touggourt.
Ici tous les habitants sont de race noire. Ils parlent un berbère très doux, aux consonances soudanaises. Ils sont tout de blanc vêtus et pratiquent un islam de (...)
Union Elle et lui s?aimaient solidement et se portaient un respect mutuel.
Louise se tenait derrière la baie vitrée qui donnait sur la terrasse. Elle observait avec une pointe d?inquiétude son mari Rodriguez, qui avalait un peu trop rapidement les (...)
"Tragédie" Il était une fois une belle ville qui faisait le charme de la côte est.
Un vent terrifiant s?acharnait sur la terre, lui arrachant des masses de sable noir qu?il faisait tournoyer. Il faisait ployer, jusqu?à les briser, de grosses (...)
"Karkabou" Dans l?Algérois on l?appelait «Baba Salem». Mais à Biskra, comme au Sud et dans tout l?Est algérien, il était désigné sous le vocable évocateur de Boussaâdia.
En ces temps où la télévision n?avait pas encore fait intrusion dans les (...)
Les Algériens, longuement sevrés, étaient pris d?une frénésie de consommation, comme d?une boulimie de compensation. Ils faisaient carrément leur marché à Oujda : boissons gazeuses, jeans, baskets, friperie, électroménager, cosmétique, lingerie (...)