Ils n'ont pas réfléchi deux fois. Dès l'annonce par le ministre des Ressources en eau du nouveau programme de distribution de ce précieux liquide dédié à la capitale, les Algérois, pris de panique, ont investi les points de vente des citernes. (...)
Par Naïma Yachir
C'est l'été, les vacances, les congés et le Covid-19. Il est toujours là à nous narguer, et pourtant, il faut continuer à vivre et penser à s'évader, à «programmer», même si, par les temps qui courent, il n'est plus aisé de prévoir (...)
La nouvelle de la disparition de Monsieur Souissi m'a atterrée. Que dire de cet homme que j'ai aperçu pour la première fois à la rédaction du Soir d'Algérie, le premier journal indépendant, un certain 3 septembre 1990.
En bras de chemise, il (...)
Envie d'une tarte à la fraise, d'un morceau de kalb elouz ou d'un bâtonnet de zlabia, ou tout autres mets ou boissons sucrées, somme toute de sucre, souvent à doses démesurées que les jeûneurs engloutissent, sans imaginer les conséquences sur leur (...)
Attristée, consternée, les mots me manquent pour exprimer ce que je viens de ressentir en apprenant la mort de mon collègue et ami, Abdelmadjid M'haimoud, journaliste, correspondant de Mila, qui nous a quittés à l'âge de 65 ans.
Lorsqu'il a intégré (...)
A chaque 11 février, je suis amenée à me poser la question : comment peut-on oublier ? Comment peut-on nous demander de bannir de nos mémoires ce fatidique jour de Ramadhan où la horde terroriste a, par un après-midi funeste de l'année 1996, déposé (...)
Entretien réalisé par Naïma Yachir
Le coranavirus est toujours là, même si les cas de contamination sont en décrue et que la campagne de vaccination est entamée. Près d'une année après son apparition en Algérie, le docteur Mohamed Taher Zerouala (...)
Miloud nous a quittés à l'aube de ce vendredi 29 janvier dans la discrétion, à l'âge de 72 ans. Miloud Zenasni, journaliste, chef de bureau de Tlemcen est l'un des fidèles compagnons du journal Le Soir d'Algérie où il exerçait depuis un quart de (...)
C'est avec consternation et une profonde tristesse que nous avons appris, en cette matinée de samedi, la mort de notre collègue et ami Saïd Dilmi correcteur, après avoir lutté contre le coronavirus.
Le 1er août 1997, il rejoint l'équipe du Soir (...)
Dans son intervention, le Dr Zerouala, spécialiste des maladies du sang, nous éclaire sur les différentes étapes par lesquelles l'Algérie est passée pour affronter la pandémie de coronavirus. Il explique l'efficacité des différents tests mais aussi (...)
Je viens d'apprendre la disparition de mon ancien collègue et ami Salim Lamine. Je suis atterrée. Il a fait partie de la toute première équipe du Soir d'Algérie, il avait une plume digne des grands noms du journalisme professionnel. Il anticipait (...)
«De nombreux médecins ont assuré leurs consultations bravant la contamination». Quel est le rôle du secteur médical privé pendant la crise sanitaire que vivent l'Algérie et le monde entier ? Le docteur Zerouala Mohamed Tahar, omnipraticien, diplômé (...)
Par Naima Yachir
C'est un choc d'apprendre que Mokhtar, notre correspondant à Aïn-Defla, n'est plus. Un journaliste de terrain, prolifique et assidu. Il était toujours attentif aux préoccupations des citoyens démunis et les rapportait fidèlement (...)
Je l'entends tousser du bout du couloir du journal. Il porte un masque, se frotte les mains avec le gel hydroalcoolique, vérifie si le personnel encore sur les lieux observe les gestes barrières imposés par la pandémie, avec son calme habituel. Il (...)
«Donner corps aux aspirations professionnelles de nos étudiants, les révéler à eux-mêmes et aux autres, telles sont les ambitions du programme grande école de l'EM Strasbourg qui associe au plus près parcours personnel et cursus académique », (...)
Mohamed Tahar Zerouala est médecin, essayiste, mélomane et écrivain. Mémoires de deux mondes, 141 pages, est son second roman, édité à compte d'auteur. Dans son récit, il nous fait voyager dans quelques grandes villes de l'Algérie, à travers (...)
Ma chronique sera exceptionnellement courte, sans être expéditive. Je dirais tout simplement et non sans regret aux fidèles lecteurs du Soir Magazine que les trois pages hebdomadaires du samedi ne paraîtront plus. La raison : une restructuration de (...)
L'installation d'une bibliothèque au sein de la gare Agha d'Alger, une initiative du Lions club Alger, a permis aux voyageurs de renouer avec le livre. Grands et petits ont redécouvert la lecture, et pourquoi pas le goût de lire. Un engouement dont (...)
Des femmes, le visage pourpre, les yeux larmoyants, toutes de djelabate vêtues qu'elles portent avec élégance, la tête recouverte d'un foulard assorti à leur habit et que seules les Tlemcéniennes enfilent en pareille circonstance comme l'exige la (...)
Nous poursuivons non sans peine ce qu'il avait commencé, la confection quotidienne du journal. Sans lui. Sa présence imposante, ses pas dans les couloirs des locaux, ses passages au service PAO lorsqu'il vérifiait les pages du lendemain et quand il (...)
Ramadhan n'est plus. On a fêté l'Aïd dans la joie et la bonne humeur avec, cependant, un petit mélange de stress pour les collégiens et lycéens qui affronteront les examens de fin de cycle.
Les vacances n'ont pas encore sonné pour les parents et (...)
Qu'il m'est pénible d'écrire ces quelques lignes. Nous pleurons celui qui nous rassemblait, qui nous écoutait, le pilier de la famille que nous avons constituée.
Il est parti après 29 ans de « vie commune » dans la discrétion, sans que l'on puisse (...)
Les joues rubicondes, le front en sueur, il joue des coudes en essayant de se frayer un chemin parmi la foule compacte des manifestants du vendredi. Il pleure, s'égosille en appelant sa mère qu'il ne voit pas. Peine perdue. Personne ne l'entend. Des (...)
Le mois sacré tire à sa fin. La fougue de se remplir l'estomac, de courir derrière le meilleur pain, l'excellent qelb el louz s'estompe et laisse place à un autre délire.
Vous l'avez deviné, l'achat des sacro-saints vêtements de l'Aïd ! Et il n'y (...)
A quelques jours des examens scolaires, les parents, hystériques, paniquent, s'affolent. Et c'est le bourrage de crâne. Jamais les enseignants qui dispensent les cours de soutien n'ont été autant sollicités, voire harcelés à la veille du jour J : (...)