Le démantèlement, la semaine dernière, d'un réseau spécialisé dans la délivrance de fausses décisions d'attribution de terrains et permis de construire dans la région d'Alger relance le débat sur l'épineux fléau de la mafia du foncier qui sévit (...)
Le secteur de l'agriculture vient d'être touché par le changement de l'équipe gouvernementale de la semaine dernière avec le départ de Rachid Benaïssa et son remplacement par le wali de Tlemcen, promu ministre pour la première fois, Abdelwahab (...)
Depuis quand regrette-t-on un ministre partant ?» L'interrogation a été lancée la semaine dernière par plusieurs cadres et acteurs du secteur agricole à la lecture dans la presse nationale que «les cadres du secteur regrettent le départ de Rachid (...)
Les points forts :
Deux lois majeures ont été promulguées et dont la portée est de recentrer l'orientation du secteur. Il s'agit de la loi 16-08 du 15 août 2008 portant «orientation agricole» et la loi 10-03, portant «exploitation des terres (...)
La mise en valeur des spécificités et potentialités locales, constituant l'axe central de toute politique de développement des territoires ruraux, est plus que jamais d'actualité non seulement en Algérie mais bien au-delà, dans les différents pays (...)
La question du développement rural n'est pas nouvelle ni spécifique à l'Algérie.
Comparée à ce qui a été fait en la matière dans les pays voisins, la politique de développement rural apparaît comme un alibi à travers lequel les pouvoirs publics (...)
La filière céréalière algérienne observe une évolution des plus contrastées en termes de rapport importations/production locale.
Ces quatre dernières années, les niveaux atteints par la production locale, tel qu'il ressort des bilans officiels, (...)
A une année de la clôture du premier quinquennat de la politique de renouveau rural, qui a été marquée par la mise en œuvre de centaines de PPDRI instaurant l'approche de développement local intégré depuis 2009, les débats viennent d'être ouverts (...)
Les mots ne manquent évidemment pas aux responsables pour justifier certaines opérations d'importations lorsque celles-ci deviennent incontournables afin de pallier les faibles performances de la production locale et, du coup, infligent un démenti (...)
«En Egypte, comme en Algérie, en Tunisie ou au Maroc, les prix des denrées alimentaires subissent une certaine inflation.
Mais, celle-ci affecte peu le pain et les céréales, qui bénéficient des subventions soutenues par les gouvernements.» C'est ce (...)
Après avoir analyser de près le secteur agricole et ses dysfonctionnements et avec une expérience au sein des Chambres d'agriculture en France, cet ingénieur agronome réfute, dans cet entretien, toute similitude entre la politique des subventions (...)
L'état chimérique de l'investissement industriel dans la wilaya de Tizi Ouzou risque de durer encore, au moins pour les quelques années
à venir au vu des contraintes qui y pullulent à divers niveaux.
Un nouveau constat vient d'être dressé, la (...)
La dynamique suscitée par les dispositifs de soutien à la création d'entreprises n'ont pas été en mesure de booster l'investissement productif dans la région de Tizi Ouzou.
C'est le cas du dispositif ANDI dont 6% seulement des projets concrétisés (...)
-Abdelkrim Mansouri. DG de l'ANDI :
Avec la nouvelle approche prônant la décentralisation, la promotion de l'investissement se fera désormais en tenant compte des spécificités régionales. C'est ainsi que nous venons de faire une proposition (...)
Comme chaque année, le début de la saison estivale est toujours marqué par le débat sur les résultats de la campagne céréalière.
Cette année, sans déroger à la règle, des échos mitigés parviennent des différentes régions du pays concernant les (...)
Battant en brèche le discours optimiste de ces derniers mois qui prône l'intensification de la céréaliculture dans les régions du Sud, le professeur Brahim Mouhouch recommande, dans cet entretien, de se détourner des cultures dont le prix de revient (...)
Après de nombreuses études et recherches sur la gestion de l'espace, ce qui ressort notamment à travers ses deux ouvrages : Economie touristique et aménagement du territoire (1993) et Algérie-histoire d'une construction spatiale : 1960-2005 (2007) , (...)
Les inquiétudes que suscite la question de la sécurité alimentaire ont débouché sur la reconsidération de l'intérêt accordé au secteur agricole par les pouvoirs publics dont la priorité est désormais l'amélioration de la production locale et (...)
Fondée au début du siècle dernier par les autorités coloniales, l'Ecole d'agronomie d'El Harrach est bien ancrée dans le puzzle historique de l'Algérie contemporaine.
Le professeur Omar Bessaoud, enseignant-chercheur à l'Institut agronomique de (...)
Le recours aux mesures d'urgence pour faire face aux conjonctures contraignantes est devenu récurrent en Algérie depuis l'avènement de ce 21e siècle. Dans la foulée de la crise alimentaire qui a ébranlé les marchés mondiaux de produits de base (...)
Le poulet de chair connaît une baisse sensible du prix sur le marché. Cette situation met dans une situation inconfortable les éleveurs avicoles. Dans plusieurs régions du pays, les professionnels de la filière tirent, d'ores et déjà, la sonnette (...)
-Depuis quelques semaines, le prix du poulet est à moins de 200 DA/kg. Comment expliquez-vous cette chute importante des prix ?
La raison principale de cette baisse sensible des prix est la surproduction et le manque de moyens en aval de la filière, (...)
Lancée en 2011 à titre expérimental dans des régions du sud et des hauts-plateaux, la culture du maïs est en phase de domestication en Algérie.
Sur la base des études d'impact qui ont été menées ces dernières années, l'Institut technique des grandes (...)
-Ces dernières années, le débat porte beaucoup sur l'innovation pour l'amélioration des productions agricoles et la modernisation des systèmes d'exploitation. Qu'en est-il réellement ?
Dans l'ensemble, le secteur de l'agriculture a connu beaucoup de (...)
Selon une étude financière réalisée par l'ITGC, (Institut technique des grandes cultures), le coût de revient de la culture d'un hectare du maïs est estimé à 114 064 DA.
Tenant compte de tous les facteurs de production, directs et indirects, l'étude (...)