Merzak Allouache entouré de ses comédiens
Fidèle à son caractère bien trempé, Merzak Allouache, venu présenter son film Normal, mardi dernier, a suscité le désordre, bien plus qu'aurait pu le faire son film.
Quand la fiction rejoint la réalité (...)
Le réalisateur Khaled Youssef, avec son héroïne Joumana Mourad, à la projection
Tout en plaidant pour l'Unité arabe, Khaled Youssef, confiant en l'avenir de son pays, clôt une quadrilogie avec Kaf El Kamar, tandis que l'Algéro-Marocain convoque (...)
Scène du film Dima Brando
Dima Brando du Tunisien Rida Al Bahi (meilleure production au festival d'Abou Dhabi) et Transit du Jordanien Mohamed El Hochki sont les deux films que le public oranais a été invité à découvrir.
Les journées se (...)
Scène du film «Andalousie mon amour»
La compétition des longs métrages a pris son envol vendredi dernier avec un film marocain, Andalousie mon amour de Mohamed Nadif et Chhal thabni de l'Algérienne Fatma-Zohra Zaâmoum.
Les choses sérieuses (...)
Le festival change d'appellation et de commissaire
Très heureuse est Rabia Moussaoui, le nouveau commissaire du désormais Fofa qui s'est ouvert jeudi soir pour s'étaler jusqu'au 22 du mois en cours.
Le festival, qui change d'appellation et de (...)
La 4e édition du Fifao verra la remise de deux prix ex æquo dans la catégorie court métrage aux films Linge sale du Tunisien Malik Amara et Garagouz de Abdenour Zahzah.
Le rideau est tombé jeudi soir, à la salle le Maghreb, sur la 4e édition du (...)
«L'avenir commence quand on connaît bien son passé. On veut que j'apporte des solutions aux relations syro-libanaises. Mon rôle n'est pas de résoudre les problèmes», dira Joud Saïd, le réalisateur du film Encore une fois, projeté mardi dernier.
La (...)
Il a été honoré hier à l'hôtel Sheraton d'Oran par Ibhrahim Abou Dekra, président du conseil d'administration des producteurs audiovisuels arabes. Un prix d'honneur octroyé pour le Festival du film arabe qui, a-t-on affirmé, «se distingue par sa (...)
Quatre intervenants, notamment de Tunisie, de Syrie et d'Algérie, ont donné leur point de vue sur la question.
Si le cinéma est un tout, la musique fait partie intégrante de cet ensemble, elle l'étaie, le souligne et bien souvent, vient sublimer en (...)
Si le film marocain Les Oubliés de l'histoire montre de façon frontale la brutalité de l'être humain, le film irakien Quarantina, a choisi une autre possibilité de narration, basée beaucoup plus sur la suggestion.
Le Festival international du film (...)
Le réalisateur marocain, avec Les Oubliés de l'histoire, tient un film humainement puissant.
Oran continue dans son sillage à abriter la quatrième édition du Festival international du film arabe dans un concept redéfini. Moins d'invités cette année (...)
Vendredi 17 décembre, par un matin froid, a débuté à la cinémathèque d'Oran la projection des courts métrages en compétition dans une salle presque vide.
Des films au caractère sombre et où la souffrance de l'autre se veut le trait dominant. Dans (...)
Le boulevard Larbi-Ben M'hidi a connu une vive animation, jeudi soir, en raison de l'ouverture de cet événement phare qui se tiendra jusqu'au 23 décembre.
Le Festival du film arabe d'Oran dans sa 4e édition a enfin eu lieu jeudi soir dans un (...)
«Croire en sa destinée, avec foi et conviction, est le secret du bonheur. Ce n'est pas dans la richesse, mais dans la sagesse...», nous a déclaré la grande star égyptienne.
Ilham Chahine est revenue cette année à la 3e édition du Festival du film (...)
Le court métrage algérien Goulili de Sabrina Draoui a été élu meilleur film.
Le palmarès de la troisième édition du Festival du film arabe n'a pas été sans grande surprise cette année. A une exception près.
Le film Kheltat Fawzia de l'Egyptien (...)
«La société arabe souffre d'un réel complexe vis-à-vis du sexe», dira le réalisateur Khaled Youssef à l'égard de ses détracteurs lors du débat.
En programmant les deux films les plus virulents et violents de la compétition, les organisateurs ont (...)
Ilham Chahine par qui le scandale est arrivé l'an dernier, a débarqué en star mardi à Oran pour présenter le film Fawzia's Secret Recipe.
Le cinéma arabe n'a de cesse de faire parler de lui dans les chaumières des festivals. Oran est en passe de (...)
Azzedine Mihoubi propose la création d'un fonds d'aide à la création cinématographique arabe.
Accompagné d'une flopée de critiques de cinéma arabe, Azzedine Mihoubi, secrétaire d'Etat auprès du ministère de la communication, a animé dans la matinée (...)
C'est avec beaucoup d'émotion qu'a été suivi le film l'Anniversaire de Leïla, samedi dernier lors de la soirée consacrée en l'honneur de la Palestine.
Ce film de Rashid Masharawi raconte les péripéties d'Abou Leïla (Mohamed Bakri), juge mais sans (...)
Les films Le Voyage d'Alger de l'Algérien, Abdelkrim Bahloul, et Le sel de la mer de la Palestinienne, Anne-Marie Jasser, ont ouvert vendredi la compétition dans la catégorie long métrage.
La première journée du Festival international du film arabe (...)
Placée cette année sous le signe de la solidarité avec «El Qods, capitale de la culture arabe», cette troisième édition a été inaugurée jeudi soir au théâtre Abdelkader-Alloula.
Comme le veut la tradition, nos stars arabes sont accueillies sous les (...)
La prochaine édition du Festival du film d'Oran se tiendra du 2 au 9 juillet prochains. C'est ce qu'a annoncé hier, Hamraoui Habib Chawki lors d'une conférence de presse, animée en marge du Festival international du film arabe qui se clôturera ce (...)
Un accord de coopération a été signé, hier, à l'hotel Sheraton, entre Hamraoui Habib Chawki, directeur de l'Entv et M.Emmanuel Hoog, président de l'Institut national français de l'audiovisuel et récemment du Copeam (Conseil euroméditerranéen de (...)
Le ministre de la Communication, Rachid Boukerzaza qui était depuis hier, l'hôte du Festival international du film arabe a affirmé que l'Etat n'a pas abandonné le cinéma. «L'Etat soutient le cinéma algérien», a déclaré, hier, le ministre à Oran où (...)
«Je suis un être simple qui rêve de vie et de mort. J'aspire à la liberté mais je ne la rencontre pas...»
Dans Under exposure, on devine facilement que Hassen, le réalisateur mis en scène, n'est autre que Rachid Ody lui-même. Un regard très (...)