Il n'est jamais trop tard pour bien faire, et on ne peut que se féliciter des mesures prises, mercredi dernier, par le Conseil de gouvernement en décidant de mettre le holà à ce dépeçage d'une autre partie du patrimoine national.
Le chemin qui (...)
L'accord auquel sont parvenus les archs et le Chef du gouvernement ne vaut, pour le moment, que par la solution, grandement facilitée par l'usure et la lassitude, apportée aux aspects techniques d'un problème qui, lui, ne l'était pas à l'origine. (...)
La ville mythique, qui continue d'exercer un fort pouvoir de séduction sur les forces de travail en jachère de toutes les régions du pays, n'a malheureusement strictement rien à voir avec de vraies mégapoles pétrolières comme Houston ou Dallas et (...)
Les troubles d'hier dans une faculté d'Alger, la solidarité qui s'est exprimée dans d'autres universités consécutivement à un même problème, confirment l'existence d'un amalgame et d'une confusion à propos de cette notion de franchises (...)
La question est de savoir pourquoi l'Exécutif a pris le risque de s'exposer au désaveu de l'Assemblée nationale pour ensuite revenir à l'oukase, synonyme d'autoritarisme et portant nécessairement la marque d'une dévalorisation (...)
Le refus de l'Assemblée nationale d'avaliser l'augmentation substantielle du prix du gasoil, et qui semble en partie justifiée, n'a pas fait renoncer l'Exécutif à ses projections initiales pour 2005. Aujourd'hui, il revient à la charge et il entend (...)
Bien sûr, il ne faut pas être naïf au point de croire que la reconnaissance des massacres par leurs propres exécutants va clouer le bec aux partisans du “qui tue qui ?”
On le savait moribond, le voici à présent à terre n'attendant que l'estocade. (...)
L'année 2005, sur ce plan, n'annonce rien de nouveau. Il se pourrait même qu'elle serve à ouvrir la voie à un… troisième mandat.
Des préoccupations plus prosaïques, qui ont néanmoins l'excuse de la faiblesse humaine, ont quelque peu relégué à (...)
Il faut se débarrasser du tonneau des Danaïdes. La quasi-totalité des entreprises publiques ont été “assainies” financièrement par l'Etat propriétaire, certaines d'entre elles plusieurs fois, mais la thérapie a eu l'effet d'un cautère sur une jambe (...)
Chez nous, les traumatismes psychologiques et les angoisses stressantes consécutifs aux tremblements de terre restent d'une vivacité à fleur de peau.
L'Algérie plus que d'autres pays doit avoir toutes les raisons sinon de se sentir interpellée, (...)
Les partenariats économiques et sociaux restent en rade…des règlements de comptes que des affaires aussi sordides et graves que celle de Khalifa vont continuer longtemps de ramener à la surface.
Bribes de fuites par-ci, propos peu amènes et (...)
Si avec une telle débauche de moyens mobilisés, ce n'est pas une guerre totale qui est déclarée au criquet pèlerin, il faudra alors croire que le danger de l'invasion acridienne est derrière l'Algérie. Or tel n'est pas le cas, loin s'en faut. Le (...)
Une contestation sociale à répétition, erratique et récurrente, parfois gauche, est bien le signe d'une nouvelle réalité imposée dans les faits.
Les syndicats autonomes, reconnus ou non, n'ont pas l'intention de baisser la garde ni de se laisser (...)
Le continent africain est autant guetté par un trop-plein d'intentions généreuses que par une pauvreté chronique qui a les effets ravageurs d'une pandémie.
La réunion au sommet des chefs d'Etat ou de gouvernement des pays membres du Nouveau (...)
L'Algérie a sa place plus que beaucoup d'autres dans une francophonie où elle a naturellement vocation à jouer les premiers rôles pour des raisons indiscutables.
Il y a une forte probabilité de voir le président algérien marquer de sa pleine (...)
On a l'impression que, d'une manière générale, les pouvoirs publics sont installés dans la routine de l'après-coup et répugnent à anticiper ce qui est naturellement dans l'ordre des choses.
Un extraordinaire déchaînement des éléments, à la veille (...)
Depuis que sa prochaine disparition ne fait plus le moindre doute, les chroniqueurs de l'insolite n'ont pas arrêté de gloser sur “les sept vies de Arafat”, crédité d'une baraka exceptionnelle qui, dans l'adversité, l'a toujours fait retomber sur ses (...)
La seule autre explication est que le gouvernement, ayant bâti ses projections autour de 1 DA d'augmentation, a délibérément placé la barre très haut pour, justement, dégonfler dans l'exagération les exubérances populistes des députés.
Une (...)
Les conséquences de ce refus du pluralisme syndical ont été assez lourdes au plan économique et social et contribuent à un alourdissement permanent du climat social.
En prenant langue directement, sans médiation ni intercession, avec (...)
Une multitude de signes d'un dépassement apparaissent dans la société algérienne chez qui l'aspiration à la paix est plus forte que tous les marchandages politiques.
Au lendemain de son évocation par le président de la République, l'idée d'une (...)
Un retour à une vie politique digne de ce nom n'est pas seulement une exigence démocratique. Il est un impératif de salubrité publique et de saine gestion économique.
Dans un effort quasiment scolastique, le président de la République a esquissé, (...)
C'est donc l'image d'un chef jouissant de la plénitude de ses pouvoirs et prérogatives qu'a voulu donner de lui Bouteflika, hier, à l'Assemblée nationale
Signe des temps, le premier discours du président de la République devant des parlementaires (...)
Héritier de la centralisation jacobine française, l'Etat algérien est, en principe, suffisamment outillé pour épargner à ses communes les gestions désastreuses à répétition et, depuis quelques années, multipartites.
“Vox populi vox dei”, hier, (...)
Incompréhen-sibles paraissent les retards qui continuent de s'accumuler dans la sphère économique, principalement dans le secteur financier et bancaire où un pas en avant est immédiatement suivi de deux pas en arrière.
Une loi de finances, par (...)
Non moins inquiétante était l'attitude des autorités qui se complaisaient dans une attitude d'observation attentiste, donnant l'impression qu'elles avaient à faire à des “conflits de basse et moyenne intensité”.
L'exagération et l'outrance (...)